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Va-t-on vers une pénurie de beurre en France ? Après l’huile de tournesol, le maïs ou encore le blé, au tour du beurre de disparaître des rayons ? Même si l’heure n’est pour l’instant pas à la panique, la France pourrait bien connaître d’ici quelques mois de sérieuses difficultés à combler la demande des Français. Le pays est en effet déficitaire en matières grasses laitières depuis plusieurs années», souligne Ghislain de Viron, Vice-président de la Fédération des producteurs de lait FNPL, et fait face à une demande croissante pour cette graisse présente dans les plats de millions de Français. Alors que la production de lait française en 2021 baissait de 1,5 % par rapport à une année 2020 déjà pauvre en rendements à cause de la crise sanitaire, les conjonctures actuelles ne semblent pas présager un futur meilleur. À commencer par la guerre en Ukraine, qui depuis bientôt quatre mois, fragilise la production de nombreux industriels, contraints de remplacer certaines huiles par du beurre. Ces substitutions impromptues provoquent une demande mondiale de fait plus forte, difficile à combler, qui provoque une tension importante dans un secteur où la demande mondiale est déjà considérable, et où la production française est en berne depuis plusieurs années. Les tendances inflationnistes des derniers mois jouent aussi un rôle important dans le risque de pénuries de beurre. Les producteurs laitiers subissent de plein fouet les hausses des coûts liées à l’alimentation des vaches ou encore aux carburants nécessaires au bon fonctionnement de leurs tracteurs. Ces derniers rencontrent également des difficultés pour répercuter ces hausses à la grande distribution. Rien n’épargne leur production. Toutes les conditions sont réunies pour avoir une pénurie de beurre prochainement», soupire Ghislain Viron. Selon lui, il est cependant difficile de savoir combien de temps le secteur va tenir avant de lâcher et ne plus pouvoir combler la demande. Septembre 2022, janvier 2023, c’est difficile de savoir. La sécheresse actuelle va aussi nous faire mal. En 2022, il n’y a aucune chance que la production de matières grasses soit au rendez-vous », ajoute-t-il. » Nous produisons de moins en moins de lait et de plus en plus d’agriculteurs laissent tomber la production laitière. Cela va donc poser d’immenses problèmes sur toute la chaîne de valeur et d’approvisionnement de la filière des produits laitiers au sens large. L’alimentation pour le bétail coûte de plus en plus cher, et des pays comme l’Argentine refusent d’exporter des tourteaux de soja par exemple. Vous pouvez également rajouter la sècheresse qui va peser sur la production et donc le prix du fourrage. Enfin, les prix du lait ne montent pas. Nous avons donc tous les ingrédients réunis pour aller vers une grande crise laitière qui se traduira par une pénurie. Pour l’heure, pas d’inquiétudes. Les rayons des supermarchés restent remplis de la précieuse matière grasse, mais la fédération des producteurs de lait le sait, il y aura tôt ou tard des problèmes d’approvisionnement ». Charles SANNAT Ceci est un article presslib’, c’est-à -dire libre de reproduction en tout ou en partie à condition que le présent alinéa soit reproduit à sa suite. est le site sur lequel Charles Sannat s’exprime quotidiennement et livre un décryptage impertinent et sans concession de l’actualité économique. Merci de visiter mon site. Vous pouvez vous abonner gratuitement à la lettre d’information quotidienne sur » Source Le ici
Sous-section 1 « Les contrats de vente de lait de vache « Art. R. 631-7.-En application de l'article L. 631-24-2, l'achat de lait de vache cru livré sur le territoire français, quelle que soit son origine, fait l'objet de contrats écrits entre producteurs et acheteurs. Ces contrats sont soumis aux dispositions de la présente sous-section. Le Monde Afrique Sénégal Avec la crise du Covid-19, la flambée des stocks de lait en poudre importé, qui inondent déjà le marché sénégalais depuis 2018, va encore fragiliser les producteurs locaux. Pour ne rien manquer de l’actualité africaine, inscrivez-vous à la newsletter du Monde Afrique » depuis ce lien. Chaque samedi à 6 heures, retrouvez une semaine d’actualité et de débats traitée par la rédaction du Monde Afrique ». En cette saison des pluies, à la mi-juillet, la dizaine de vaches de Michel Doudou Sène pâture toute la journée dans la brousse redevenue verdoyante des environs de Kaolack, à 200 kilomètres à l’ouest de Dakar. Mais le soir venu, à l’étable, seules quelques-unes passeront à la traite. L’éleveur sénégalais se désole Nous limitons la production car nous peinons à l’écouler. Les clients préfèrent le lait en poudre importé, moins cher et plus facile à trouver. » Pour s’aligner sur le prix des importations, Michel Doudou Sène a dû baisser le tarif du litre de lait de 700 à 500 francs CFA de 1 euro à 75 centimes. Pourtant, notre lait est de meilleure qualité ! Mais il est aussi plus cher à produire », s’agace-t-il, en regardant avec désespoir ses trois génisses sur le point de mettre bas. Lire aussi La France acte la restitution définitive d’objets d’art au Sénégal et au Bénin Au Sénégal, le lait en poudre représente 84 % des importations de lait, majoritairement en provenance de l’Union européenne UE. Depuis 2018, nos marchés sont inondés par des stocks sans précédent de l’UE, qui concurrencent notre lait local », résume Fatou Cheikh Ndione Sané, directrice des industries animales au ministère de l’élevage. Une situation qui risque d’être encore amplifiée par les excédents de stocks de poudre de lait européens constitués lors de la crise du Covid-19, alors que la demande en produits laitiers s’effondrait sous l’effet des confinements. Ces surplus ont toutes les chances d’être déversés en Afrique de l’Ouest, au risque d’affaiblir durablement des filières laitières déjà fragiles et peu structurées. Les moyens de l’autosuffisance Nous sommes préoccupés par la situation des éleveurs, et surtout des femmes qui composent la majorité de ce secteur », alerte Khar Ndiaye, directrice des programmes pour Oxfam Sénégal. Le lait importé, de faible qualité nutritionnelle, est 30 % moins cher que le lait local grâce aux subventions de la politique agricole commune européenne, fait valoir Mme Ndiaye. Dans ces conditions, les producteurs sénégalais ne peuvent guère résister à la concurrence, pâtissant déjà de la faible productivité de leurs vaches, du prix élevé des aliments de bétail et d’un circuit logistique compliqué. Pourtant, avec 3,9 millions de bovins sur territoire – parmi lesquels 70 % de femelles dont la moitié est en âge de produire du lait –, le Sénégal a les capacités d’être autosuffisant. L’un des enjeux est d’arriver à acheminer le lait local des zones de production aux unités de transformation puis aux points de vente. Pour y parvenir, nous sensibilisons au changement des habitudes de consommation », explique Mme Ndiaye. Lire aussi Article réservé à nos abonnés Au Sénégal, le mariage est souvent pour les femmes le seul moyen d’accès à des ressources économiques » A Kaolack, seule une petite laiterie de transformation artisanale tenue par cinq femmes achète la production des éleveurs installés non loin de la ville. Toute de rose vêtue, Awa Diallo montre la machine manuelle en inox qui permet de produire du lait caillé, des fromages ou des yaourts. Sur une étagère sont alignés des flacons d’arôme à la vanille, à la banane ou à la fraise. Mon lait, je l’aime local », clame un slogan inscrit en lettres vertes à l’entrée des locaux. Nous luttons contre le lait en poudre pour aider nos éleveurs », affirme Mme Diallo qui, elle-même, peine à vendre ses produits laitiers, jugés trop coûteux par les clients. La filière laitière ne pourra pas se développer tant que les grands transformateurs n’incorporeront pas ou trop peu de matière première sénégalaise dans leurs produits. Notre lait n’intéresse pas les industriels, installés à Dakar et qui ne se déplacent pas pour le collecter », constate l’éleveur Michel Doudou Sène de Kaolack. Et encore, son exploitation est relativement accessible depuis la capitale, comparée à la plupart des éleveurs, qui se concentrent dans les lointaines régions peules du nord-est du pays. Mesures protectionnistes Seuls deux industriels sénégalais font l’effort de favoriser le lait local. Le groupe Kirène a installé un centre de collecte dans la région de Fatick, en partenariat avec le ministère de l’élevage. Mais l’entreprise pionnière dans ce domaine est La Laiterie du berger LDB. Entre 2007 et 2019, elle est passée de 200 000 litres de lait collecté à 1,1 million de litres. Arona Diaw, secrétaire général de la LDB, avoue que leurs produits ne sont pas très compétitifs » par rapport aux produits en lait en poudre. Résultat, certains sont confectionnés avec un mélange de lait local et importé, en attendant que l’Etat prenne des mesures plus protectionnistes », explique Arona Diaw. Une première décision gouvernementale a soulagé les acteurs laitiers avec l’exonération de la TVA sur le lait pasteurisé produit au Sénégal, entrée en vigueur en février 2019. Mais ce n’est pas suffisant pour structurer une filière laitière locale résiliente, analyse Arona Diaw. Une piste pour faire baisser les coûts de production pourrait être la mise en place d’un régime de subventions aux tarifs de l’énergie, suggère Mme Sané, au ministère de l’élevage, assurant que des réflexions sont en cours ». Les différents acteurs de la filière, soutenus par Oxfam, demandent surtout une augmentation des droits de douane, actuellement de 5 %, sur les importations de lait en poudre depuis l’UE. Ce plaidoyer est mené au niveau de la Communauté des Etats d’Afrique de l’Ouest Cédéao pour faire émerger une industrie régionale plus compétitive. L’éleveur Michel Doudou Sène, lui, rêve que soient subventionnés des kiosques à lait » installés en plusieurs endroits de la ville de Kaolack, comme cela se fait à Dakar. A portée de main de tous les consommateurs. Théa OllivierKaolack, Sénégal, envoyée spéciale Vous pouvez lire Le Monde sur un seul appareil à la fois Ce message s’affichera sur l’autre appareil. Découvrir les offres multicomptes Parce qu’une autre personne ou vous est en train de lire Le Monde avec ce compte sur un autre appareil. Vous ne pouvez lire Le Monde que sur un seul appareil à la fois ordinateur, téléphone ou tablette. Comment ne plus voir ce message ? En cliquant sur » et en vous assurant que vous êtes la seule personne à consulter Le Monde avec ce compte. Que se passera-t-il si vous continuez à lire ici ? Ce message s’affichera sur l’autre appareil. Ce dernier restera connecté avec ce compte. Y a-t-il d’autres limites ? Non. Vous pouvez vous connecter avec votre compte sur autant d’appareils que vous le souhaitez, mais en les utilisant à des moments différents. Vous ignorez qui est l’autre personne ? Nous vous conseillons de modifier votre mot de passe. Les9 fromages et la crème IGP sont fabriqués avec du lait de vache. Début 2020, 1 933 producteurs de lait et fermiers sont engagés dans une ou plusieurs démarches IGP3. En 2020, les volumes commercialisés de produits laitiers IGP s’élevaient à 27 345 tonnes (+0,5% par rapport à 2019 et +31,9% par rapport à 2014) dont 2,1% sont des fabrications fermières1. Le L’interprofession laitière, le Cniel, a acté, lors de son dernier conseil d’administration du 2 décembre, la mise en œuvre de la nouvelle méthode de comptage des cellules somatiques du lait au 1er avril 2021. Publié le 10 décembre 2020 - Par et l Ce nouvel étalon a été élaboré par la Fédération internationale du lait Fil. Il a vocation à être utilisé par tous les pays producteurs de lait. Outre le lait de vache, il sera également applicable pour les laits de chèvres et de brebis. Les laboratoires estiment que la nouvelle méthode pourrait avoir une incidence à la baisse sur le taux de cellules de l’ordre de 15 à 20 % », explique Jehan Moreau, directeur de la Fnil laiteries privées. Certains producteurs, jusque-là pénalisés pour la qualité de leur lait, pourraient donc voir leur prix payé augmenter. Dès lors certaines sections locales de la Fnsea déplorent ce délai de mise en place. Nous sommes dans la mouvance européenne », assure la Fnil. À la Fnpl, on répond que le principal est la mise en place d’une harmonisation au niveau mondial. Il y a tout à parier que des discussions vont s’ouvrir entre les producteurs et leurs laiteries privées comme coopératives sur de nouvelles grilles de paiement du lait en fonction de sa qualité. Leversement de la prime sera effectué par l’Agence de Service et de Paiement (A.S.P.) en une seule fois à compter du 1er décembre 2022. Il pourra être versé une avance (en général de 50% du montant de l'aide) à partir du 17 octobre 2022. Le paiement de l’ABL ne pourra intervenir qu’à l’issue de la PDO. Aides aux bovins laitiersAller au contenu Aller au menu Aller à la recherche Chambres d'agriculture Normandie Chambres d'agriculture Normandie navigationRechercheLes ChambresA proximitéConseils et servicesInnovationTerritoire S'orienterS'installerTransmettreCentre de Formalités des EntreprisesProduire ThématiquesGérer son exploitationPlan de résiliencePlan de relance agricoleManagement - Organisation - RHIndemnisationInvestissementPACPAC 2023 - 2027Se préparer à la PAC 2023PAC Cadre général 2022Aides découpléesAides coupléesSecond pilierConditionnalité des aides PACTransparence des GAECActivités équinesTélédéclaration des aidesHVE Haute Valeur EnvironnementaleCSP - CertiphytoJuridiqueExploitation fragiliséeFinancer un projetPréserver l'environnementDiversifier son activitéSe former En complément des Droits à Paiements de Base, les Jeunes Agriculteurs ont accès à un paiement complémentaire par DPB activé, d’un montant identique partout en France, et dans la limite de 34 DPB par exploitation comportant un jeune agriculteur. Conditions d'éligibilitéPour bénéficier de ce paiement, le Jeune Agriculteur doit Avoir 40 ans ou moins au 31 décembre de l'année de la première demande du paiement de installé dans les 5 dernières années,Avoir un diplôme de niveau IV bac ou une valorisation des compétences acquises par l’expérience société agricole peut être considérée comme "JA" si au moins un des associés répond à la définition de jeune agriculteur. Les mesures de second pilier dotation et prêts bonifiés sont 2018, l'aide directe annuelle est perçue pendant 5 ans à compter de la première demande de paiement de base, et non jusqu'à concurrence de la 5e année après installation. Point de vigilance En 2020 l’aide a été de 102 € par ha, de 90 € par en 2019, 88,15 € par ha en 2018, contre 68,12 € de 2015 à 2017. Le montant unitaire est connu postérieurement à la campagne. À TÉLÉCHARGERLIENS UTILES Vous souhaitez en savoir plusPréparez sereinement votre télédéclaration PAC. Nos conseils et notre expertise pour vous aider. NOS CONSEILS & FORMATIONS Conseil PACRéservez votre rendez-vousNous vous aidons dans votre télédéclarationJe découvreDIAG' HORIZON PAC 2023Gardez une longueur d'avance !Un rendez-vous pour se préparer dès aujourd'huiJe découvre PUBLICATIONSLes Chambres d'agriculture proposent des faire évoluer les propositions de règlement sur la PAC, rassemblées dans 4 objectifs numéro du magazine des Chambres d'agriculture, Terres est un rendez-vous éditorial trimestriel pour échanger sur les enjeux économiques, sociétaux,...Dans le cadre des travaux sur la future PAC post 2020, les Chambres d'agriculture présentent leur premier document de positionnement, centré sur les objectifs...A l'heure de la publication de cette plaquette, un certain nombre d'informations concernant la nouvelle réforme de la PAC sont connues, d'autres, par contre,...Que ce soit en production principale ou en production complémentaire du lait ou des cultures, les éleveurs allaitants ont besoin de connaître rapidement les...Au sommaire de cette revue un dossier consacré à la sortie des quotas laitiers, la réduction de la vulnérabilité agricole aux inondations du Rhône, des outils...Au sommaire de cette revue un dossier spécial consacré à la PAC et la régulation des marchés, les Chambres d'agriculture au cœur de l'accompagnement sur...Au sommaire de cette revue un dossier consacré à l'agriculture familiale, aux élections européennes, à l'organisation mondiale des agriculteurs, ...Au sommaire de cette revue un dossier consacré au concours général agricole des prairies fleuries, à la filière animale, au solde commercial agro-alimentaire...Au sommaire de cette revue un dossier consacré à la PAC, l'aménagement du territoire, les aires naturelles de camping, les SDAGE, ...Au sommaire de cette revue un dossier consacré à la PAC Volume 2, à la qualité de l'air, aux prix des produits agricoles, ...ACTUALITESjeudi 18 août 2022Le Ministère de l’agriculture communique des assouplissements en cas d’assolements peu diversifiés. mardi 16 août 2022Pour les besoins du Paiement Vert, pensez à implanter vos dérobées SIE dans les Le 06 septembre 2022 le Grand QuevillyCoopérativelaitière, Terra Lacta s’étend sur 18 départements du grand ouest et produit 730 millions de litres de lait de vache et 120 millions de lait de chèvre. MENU. Notre coopérative. Nos actus Nos missions Notre stratégie Notre fonctionnement Notre histoire De 2016 à 2019 Quelques chiffres 7 filiales Notre territoire Nos produits. Le lait Le beurre Le fromage Les Indicateur réservé aux abonnés Le prix de revient du lait conventionnel produit en zone de plaine est estimé à 405 €/1 000 litres en 2020. © Cédric Faimali/GFAEn octobre dernier, l’interprofession laitière Cniel a actualisé ses indicateurs relatifs au prix de revient du lait. Sur un système conventionnel en zone de plaine, l’indicateur est estimé à 405 €/1 000 litres sur l’année 2020. Le Cniel a mis en place depuis 2019 un observatoire national des coûts de production du lait de vache en France, visant à produire des références nationales annuelles de coût de production et de prix de revient 1 en s’appuyant sur des données mises à disposition par des centres de gestion et organismes de conseil en élevage et sur un appui technique de l’Institut de l’élevage », rappelle l’interprofession, dans une notice publiée à l’occasion de la dernière mise à jour de son tableau de bord sur un anSur l’année 2020, dans la filière conventionnelle, le prix de revient du lait est estimé à 405 €/1 000 litres pour les élevages situés en zone de plaine. Il reste stable sur un an. Le nouvel indicateur atteint 457 €/1 000 litres en montagne 2.Dans la filière biologique, le prix de revient est désormais estimé à 529 €/1 000 litres en plaine et 579 €/1 000 litres en montagne. Il s’agit de la première apparition de l’indicateur spécifique au lait biologique produit en montagne. Ces références ne concernent pas les ateliers en cours de de réactivité L’observatoire fait partie des indicateurs les moins réactifs aux évolutions de marché, car basé sur des données annuelles, concède le Cniel. Cette année, il est basé sur des données 2019 et 2020. D’autres indicateurs de charges du tableau de bord sont plus réactifs, comme l’Ipampa, publiés sur une base mensuelle. »Ainsi, l’actualisation des indicateurs interprofessionnels sur le prix de revient du lait ne rend pas intégralement compte de la flambée des charges subies par les élevages laitiers, depuis plus d’un an.> À lire aussi Crise des matières premières, les marges des éleveurs laitiers en péril 04/11/20211 Le prix de revient est égal au coût de production de l’atelier laitier duquel sont déduits le montant des aides et les autres produits affectés à l’atelier ventes des petits veaux, des vaches de réforme, etc.. Cet indicateur constitue un point de comparaison avec le prix réel du lait perçu par l’éleveur », explique le Cniel.2 Une zone de montagne est définie selon la définition des zones défavorisées de l’ICHN. En conventionnel, les montagnes de l’Est sont exclues de l’analyse car les exploitations laitières [y] bénéficient de valorisations très spécifiques rattachées à différents cahiers des charges AOP. »
Accordinterprofessionnel régional relatif au paiement du lait de vache en fonction de sa composition et de sa qualité du 6 décembre 2016 et son avenant du 5 décembre 2017. Nombre d'analyses minimal par Modalités de classement Référence Seuils Incidence financière en {tIOODI producteur Inférieur à Inférieur à 100 000 germes/ml 0,00t: i! Germes (') 3 par mois
ChronoLégi Paragraphe 1 Modalités du paiement du lait de vache en fonction de sa composition et de sa qualité. Articles R*654-29 à R*654-33 »Version à la date format JJ/MM/AAAAou duCode rural nouveauVersion en vigueur au 25 août 2022Masquer les articles et les sections abrogés Le lait doit être payé aux producteurs en fonction de sa composition et de sa qualité hygiénique et sanitaire. La composition du lait est appréciée en fonction de sa teneur en matières grasses et en matières azotées. La qualité hygiénique et sanitaire est appréciée conformément à la réglementation prise pour l'application de la directive n° 92/46/CE du Conseil du 16 juin 1992 arrêtant les règles sanitaires pour la production et la mise sur le marché de lait cru, de lait traité thermiquement et de produits à base de lait. L'écart résultant de la différence de qualité hygiénique et sanitaire entre le prix le plus élevé et le prix le plus bas payé par un même acheteur pour un lait de qualité saine, loyale et marchande doit être au moins égal à 10 % du prix indicatif fixé conformément au règlement CE n° 1255/1999 du Conseil du 17 mai 1999 portant organisation commune des marchés dans le secteur du lait et des produits laitiers. Les critères pouvant en outre être utilisés pour la détermination du prix du lait sont le dénombrement des spores buryriques, la lipolyse et la présence d'antibiotiques ou d'inhibiteurs de fermentation. Des accords régionaux conclus dans le cadre de l'organisation interprofessionnelle constituée entre les producteurs de lait, les groupements coopératifs agricoles laitiers et les industries de transformation du lait, conformément à l'article L. 632-12, peuvent, dans le respect des règles de la politique agricole commune, établir des grilles de classement des laits livrés par les producteurs en fonction des critères et règles prévus à l'article R. 654-29. Ces grilles peuvent prévoir un classement spécifique pour les laits destinés à la fabrication d'un produit laitier bénéficiant d'une appellation d'origine en application du règlement CEE n° 2081/92 du Conseil du 14 juillet 1992 relatif à la protection des indications géographiques et des appellations d'origine des produits agricoles et des denrées alimentaires. Dans ce cas, la grille de classement est préalablement soumise à l'avis de l'organisme chargé de la défense de cette appellation. Les engagements liant les producteurs et les acheteurs de lait font l'objet de conventions écrites conclues pour une durée minimale d'un an. Sauf stipulations contraires, ces conventions sont renouvelables par tacite reconduction par périodes d'une année. Ces conventions précisent les modalités de calcul du prix du lait en fonction des critères et des règles fixés à l'article R. 654-29. Lorsqu'une grille de classement des laits applicable à la région considérée a fait l'objet d'un accord interprofessionnel homologué en application de l'article L. 632-12, ces modalités de calcul doivent être conformes au classement ainsi établi. Un arrêté du ministre chargé de l'économie et des finances et du ministre chargé de l'agriculture 1° Définit les modalités techniques selon lesquelles des échantillons sont prélevés sur les laits livrés par les producteurs, avant leur départ de l'exploitation, et selon lesquelles ces échantillons sont analysés pour déterminer leur composition et leur qualité ; 2° Fixe les modalités de notification des résultats des analyses aux producteurs ; 3° Fixe les modalités selon lesquelles le lait livré par un producteur est classé en fonction du résultat des différentes analyses ; 4° Définit la composition de la commission scientifique et technique qui est saisie pour avis préalablement à l'agrément par le ministre chargé de l'agriculture des appareils et des méthodes d'analyse et sur les difficultés qui apparaissent dans l'utilisation de ceux-ci ; 5° Détermine les conditions auxquelles est subordonné l'agrément que le préfet délivre aux laboratoires habilités à effectuer ces analyses. Les critères fixés au troisième alinéa de l'article R. 654-29 peuvent être modifiés par décret. . 130 764 349 296 72 592 624 143