rencontreinterview. On ne prĂ©sente plus Monique Brunel (Monique pour les intimes) la petite "mamie" belge du Web dont le blog Webatou est devenu trĂšs rapidement la coqueluche incontournable de nombreux concepteurs web modernes. Monique a eu la gentillesse de rĂ©pondre Ă  quelques questions que nous ne sommes pas les seuls Ă  nous poser Ma grand-mĂšre n'Ă©tait pas une femme Ă  mentir. Elle s'en tenait aux fĂ©es. Elle tĂ©moignait. C'est tout. De ce qu'elle avait connu ou entendu dire. De source sĂ»re. Intarissable. Les Pellerin et les Philibert sont les deux familles fondatrices de Saint-Elie-de Caxton, un village rempli de lĂ©gendes, en Mauricie, au QuĂ©bec. Six gĂ©nĂ©rations depuis 1865 ! Bernadette, nĂ©e Philibert, en 1906, a eu 13 enfants en vingt ans. Trois sont morts trĂšs jeunes. Elle s'est retrouvĂ©e veuve Ă  l'Ăąge de 40 ans avec dix bouches Ă  nourrir. Rien que de pouvoir tenir tĂȘte, cette femme exceptionnelle se fabriquait dĂ©jĂ  une "lĂ©gende" d'elle-mĂȘme. La famille Ă©tait pauvre. L'aĂźnĂ© des fils a relevĂ© l'entreprise paternelle de bĂ»cheronnerie, pour faire vivre la maisonnĂ©e. Ma grand-mĂšre Ă©tait rassembleuse. MĂȘme si deux membres de la famille ne se parlaient plus pour une broutille de tasse Ă  sucre, tout le monde devait ĂȘtre rĂ©uni Ă  NoĂ«l. Bernadette Ă©tait une femme de mĂ©moire Soixante-quinze personnes autour du sapin ! Elle commençait Ă  prĂ©parer les biscuits dĂšs le mois d'octobre. Le soir du rĂ©veillon, ça chantait et ça contait. Mes tantes jouaient du piano, chacune ayant sa tonalitĂ© pour s'accorder avec l'un de mes oncles chanteurs. Je faisais partie de la tablĂ©e des enfants. On attendait son tour pour manger en servant ceux qui Ă©taient assis et en faisant la vaisselle. Les festivitĂ©s se prolongeaient jusqu'au Jour de l'An, voire Ă  l'Épiphanie. Bernadette Ă©tait une femme de mĂ©moire. Dans son grenier, elle gardait tout des couettes de cheveux, des manteaux d'enfants, des rĂąteaux en bois, des barattes Ă  beurre, des jouets en tĂŽle, des livres d'Ă©cole Le plaisir que j'avais Ă  grimper avec elle jusqu'en haut ! Combien j'avais hĂąte entre les Ă©pisodes ! Chaque objet rĂ©veillait une histoire Ă  conter les assiettes Ă  tarte, c'Ă©tait les promesses que MĂ©o le "dĂ©coiffeur" du village avait tenues le jour oĂč il avait eu peur de mourir ; un paquet de cartes tout neuf sans dame de pique Ă©voquait l'incroyable rencontre de la belle Lurette, le jour de la Toussaint. Ma grand-mĂšre classait, nettoyait, reclassait, racontait Parfois j'avais le droit d'aller chercher la boĂźte de photos. Une mĂȘme image pouvait dĂ©clencher des anecdotes diffĂ©rentes. C'Ă©tait aussi psychĂ©dĂ©lique d'Ă©couter ses histoires que les chansons de Pink Floyd ! Ma grand-mĂšre tenait aussi une sorte de journal de bord dans de vieux carnets. Elle notait tout. MĂȘme son taux de diabĂšte et celui de sa fille ClĂ©mence ! Je suis devenu conteur sans m'en apercevoir Elle enregistrait les chansons du rĂ©veillon sur des cassettes qu'elle conservait, annĂ©e par annĂ©e, dans le bas du piano. Elle s'installait dans sa cuisine sur une chaise berçante, devant la fenĂȘtre, sa fille ClĂ©mence Ă  ses cĂŽtĂ©s. Toutes deux tricotaient les couvertures offertes, selon la tradition, Ă  chaque naissance. Elles parlaient du quotidien, et tout Ă  coup la conversation s'envolait. C'Ă©tait grand et ça emmenait loin. Je buvais Ă  sa bouche. Et puis, soudain un coup de tĂ©lĂ©phone, une odeur de brĂ»lĂ©, et l'histoire s'interrompait. En 1990, Ă  l'occasion du 25e anniversaire de Saint-Elie-de-Caxton, le village est devenu la cible des historiens. Ma grand-mĂšre possĂ©dait des documents que personne ne connaissait. Tout le monde Ă©tait pendu Ă  ses lĂšvres. Quelques annĂ©es plus tard, alors que j'Ă©tais Ă©tudiant en littĂ©rature, je suis devenu guide touristique du village. J'ai fait des recherches sur les dates, les noms, l'architecture. Et j'y ai injectĂ© tout ce que j'avais absorbĂ© au contact de ma grand-mĂšre. Comme les touristes veulent avant tout des histoires, je suis devenu conteur sans m'en apercevoir. Ma grand-mĂšre, elle, n'avait pas conscience d'ĂȘtre une conteuse. Elle voulait conserver une trace, convaincue que l'Ă©ternitĂ© se trouve dans la mĂ©moire. Un jour de l'annĂ©e 1994, ma grand-mĂšre est passĂ©e de vie Ă  mĂ©moire. J'avais 17 ans. Mon premier vrai deuil. Ma premiĂšre rencontre du vrai jamais. Bernadette s'est "lĂ©gendifiĂ©e", devenant ainsi une Ă©toile dans le ciel du village, comme les autres personnages de mon spectacle. La vie aprĂšs la mort » Recueilli par France LEBRETON L'Arracheuse de temps , en tournĂ©e du 26 janvier au 25 mars 2011. Les dates sont disponibles sur le site texte est Ă©ditĂ© chez Sarrazine Ă©ditions, 144 p., 20 euros. Cheminfaisant j' ai rencontrĂ© un faisan ! Partager cet article. Repost 0. ← c' est vacheQu' est-ce donc → . Commenter cet article. Ajouter un commentaire M. Maria

M Maria Dora 27/05/2013 1953 Un bien joli volatile , dommage qu'il finisse souvent dans les assiettes , pour ma part je le prĂ©fĂ©re en libertĂ© ! Bonne soirĂ©e , bisous RĂ©pondre J jardinenvalois 27/05/2013 0816 Ils sont de toute beautĂ© et il y en a beaucoup dans ma rĂ©gion. La femelle, par contre n'a pas Ă©tĂ© trĂšs gatĂ©e par la nature. RĂ©pondre D Bonjour Laurent, Un faisant se baladant tranquillement, au-milieu des verts pĂąturages, se fit prendre en photo, avec ses couleurs magnifiques. Chemin faisant, l'oiseau semble avoir aperçu...celui qui l'immortalise. Jolie image. Bon aprĂšs-midi. AmitiĂ©s. dĂ©dĂ©. RĂ©pondre N Un magnifique oiseau trĂšs craintif ! Les guĂȘpiers ne sont en effet pas faciles Ă  trouver, mais ils se trouvent dans pas mal d'endroits en France en cette saison. Bonne soirĂ©e RĂ©pondre E chemin "faisan't" il s'en va te tournant le dos prestemment passe une belle fin de semaine bisous RĂ©pondre M Marie-NoĂ«lle 24/05/2013 1659 J'en ai rencontrĂ© un moi aussi mais de façon plus musclĂ©e puisque la pauvre bĂȘte a Ă©tĂ© heurtĂ©e par ma voiture et est morte sur le coup. Je suis descendue ramasser l'oiseau et le mettre dans mon coffre quand un paysan du coin est arrivĂ© en me disant qu'il fallait le laisser au bord de la route ... que c'Ă©tait interdit de ramasser une bestiole sauvage. Ben tien !! Je lui ai rĂ©pondu que je l'amenais Ă  l'hĂŽpital et suis partie vite fait. Fin de l'histoire ... il Ă©tait dĂ©licieux ... lol A bientĂŽt RĂ©pondre L 24/05/2013 1936 Je prĂ©fĂšre de loin ma rencontre, mais tu as eu raison ça aurait Ă©tĂ© du gaspillage, par contre le paysan a raison c' est interdit, absurde non ! N Et bien, voici une trĂšs belle rencontre ! Perso, je les prĂ©fĂšre dans la nature que dans mon assiette Bon WE Nanou RĂ©pondre T ah oui.. le sauvage comme j' ne suis pas fortiche en " animal " pas le rĂ©flexe.. RĂ©pondre P aux petit oignons ! RĂ©pondre O Superbe ton coq et pas courantes les couleurs... Tu vas me trouver curieux mais je me demandais quel matĂ©riel utilises-tu ? Bonne continuation. Olivier RĂ©pondre L 24/05/2013 1934 Mon boitier est un eos 600 d mon zoom un 100/400 + un multiplicateur de focale 2 X III pour l' animalier et un 100 mm macro pour les fleurs et insectes le tout de marque Canon ! V Vieil-art 23/05/2013 2035 Beau titre ! et superbe image ! Bonne soirĂ©e . RĂ©pondre C chipette 23/05/2013 2010 ici on ne passe pas du coq a l'ane ,mais des vaches au faisan top le jeu de mots !et les couleurs magnifiques!!!!! bisessssssssssssss chipette RĂ©pondre P pyrausta 23/05/2013 1834 Joli jeu de mots, jolies couleurs..On dirait qu'il te snobe...; RĂ©pondre H bien le jeu de mot, joli le faisan en plus, superbe photo, belle fin de journĂ©e; RĂ©pondre B beatrice-hk 23/05/2013 1542 Un titre fort sympa, pour une image qui ne l'est pas moins Bravo et bientĂŽt bea RĂ©pondre L LADY MARIANNE 23/05/2013 1404 la chance !! tu guettes combien de temps ?? bravo en tout cas- bonne journĂ©e- amitiĂ©s- RĂ©pondre L 24/05/2013 1929 Cela faisait plusieurs fois que je l' entendais chanter, je l' ai cherchĂ© un moment puis clic !

EtlĂ , trĂšs rapidement j'ai senti que la randonnĂ©e Ă©tait terminĂ©e, que ce chemin de grande randonnĂ©e, GR 65, n'en Ă©tait pas un. La terre, les cailloux, les rochers qui le constituent sont imprĂ©gnĂ©s par l'Ă©nergie transmise par un nombre incalculable de pieds qui s'y sont posĂ©s. Et nous-mĂȘmes, marcheurs d'aujourd'hui, nous nous laissons imprĂ©gner par cette histoire plus Page 30 - Les chansons du Super5 P. 30 Somaire Le grand saint que les hommes... Portent la tĂȘte en bas. bis Quand ils la portent en l’air... Ils inondent les draps. " bis LE GRAND VICAIRE Chez nous le mĂ©choui, c’est une coutume Mon papa fait l’barbecue, Ma maman fait le mouton, Et le curĂ© l’embroche... Et le grand vicaire, toujours par derriĂšre N’a jamais pu l’embrocher. Chez nous le jardinage, c’est une coutume Mon papa fait la charrue, Ma maman elle fait les boeufs, Et le curĂ© laboure la bourre... Et le grand vicaire, toujours par derriĂšre, N’a jamais pu la bourrer. MA MERE M’A DONNE CENT SOUS Ma mĂšre m'a donnĂ© cent sous pour m'acheter des bretelles J'ai gardĂ© mes cent sous pour aller au bordel Chemin faisant, j'ai rencontrĂ© grand-mĂšre OĂč vas-tu mon enfant, je m'en vais au bordel Garde donc tes cent sous, je ferai bien l'affaire J'ai gardĂ© mes cent sous et j'ai baisĂ© grand-mĂšre Chemin rentrant j'ai rencontrĂ© mon pĂšre D'oĂč viens-tu mon enfant, je viens de baiser grand-mĂšre Enfant de salaud, tu viens de baiser ma mĂšre Enfant de salaud toi mĂȘme, tu baises bien la mienne 30
Ace moment-lĂ  j’ai besoin de douceur, d’accueil, de bienveillance, d’ĂȘtre rassurĂ©e que ce n’est pas de moi dont il parle, J’ai besoin de gestes tendres, de mots enveloppants, consolateurs, de la part de ma mĂšre. Je reviens dans la situation : Qui ou que suis-je sans la pensĂ©e « J’ai besoin qu’il me fasse confiance ».
Culture CinĂ©ma Le nouveau volet de la saga de Marie Dumora s’attache Ă  Nicolas, devenu adolescent, entre son foyer de Schirmeck et ses retours auprĂšs de sa mĂšre. Article rĂ©servĂ© aux abonnĂ©s L’AVIS DU MONDE » – À NE PAS MANQUER A quiconque voudrait en savoir plus sur la famille, ses ressources, ses atavismes, sa tectonique interne, on conseillera deux sagas tout aussi indispensables la premiĂšre, Ă©vidente, est la trilogie du Parrain 1972-1990 rĂ©alisĂ©e par Francis Ford Coppola, qui rejouait les Atrides entre la Sicile et les Etats-Unis ; la seconde, plus secrĂšte, est la sĂ©rie de documentaires que tourne sans relĂąche Marie Dumora depuis vingt ans Avec ou sans toi, 2002 autour d’une mĂȘme fratrie yĂ©niche de l’Est de la France. Loin de vous j’ai grandi est le dernier volet de ce cycle au long cours qui, Ă  force d’épouser l’arborescence d’une mĂȘme lignĂ©e, finit par prendre des formes romanesques. On connaissait les sƓurs Sabrina et Belinda, qui ont grandi en foyer ; c’est dĂ©sormais au tour de Nicolas, le fils de la premiĂšre, qu’on a aperçu tout petit dans les Ă©pisodes prĂ©cĂ©dents, et dont le dernier poursuit le fil de l’adolescence. Lire aussi Article rĂ©servĂ© Ă  nos abonnĂ©s La cinĂ©aste Marie Dumora et sa merveilleuse famille yĂ©niche Nicolas a 13 ans et c’est dĂ©jĂ  un grand gaillard effilĂ© Ă  la mine songeuse. A son tour, il vit en foyer Ă  Schirmeck Bas-Rhin, dans la vallĂ©e de la Bruche, et retourne parfois le week-end auprĂšs de sa mĂšre, rĂ©installĂ©e avec un ferrailleur, et de sa demi-sƓur, dans une petite maison oĂč retentissent gaiement les airs de schlager. Il leur rapporte des bonnes notes, c’est un garçon sĂ©rieux, un bon Ă©lĂšve, un bon fils qui ne fait pas trop de conneries ». Pris dans ces allers-retours, quelque chose en lui tente de rĂ©sorber la distance entre ces deux foyers » irrĂ©conciliables. La semaine, Ă  ses heures libres, il lit L’OdyssĂ©e et L’Appel de la forĂȘt, puis part dans le bois voisin construire des cabanes avec son copain Saef, Ă©migrĂ© tunisien ayant traversĂ© la MĂ©diterranĂ©e et laissĂ© sa famille derriĂšre lui. Puis un relĂąchement, des fugues, des crises se signalent dans son comportement qui font craindre Ă  ses parents, dĂ©jĂ  passĂ©s par la case prison, qu’il ne prenne le mĂȘme chemin qu’eux. Puissant dĂ©sir d’identification Attentif, sensible, amoureux de ses protagonistes, le cinĂ©ma de Marie Dumora se double d’un privilĂšge ĂȘtre ancrĂ© dans le temps long, ce qui lui confĂšre une ampleur proprement biographique. Les films prĂ©cĂ©dents ne constituent pas seulement des Ă©tapes, mais une mĂ©moire active qui innerve les suivants en profondeur. Ainsi Loin de vous j’ai grandi ne s’en tient-il pas au simple portrait d’adolescent, motif rebattu qui a trop tendance Ă  s’identifier avec son sujet. Il se nourrit des archives emmagasinĂ©es par la documentariste, faisant rĂ©guliĂšrement refluer le passĂ© enregistrĂ© des protagonistes, qui apparaissent Ă  diffĂ©rents Ăąges et sous diffĂ©rentes facettes. De ce passĂ© qui ne cesse de faire retour, la scĂšne primitive est ici celle du baptĂȘme de Nicolas autre rapport avec Le Parrain, dont les images proviennent de Je voudrais aimer personne 2010. A chaque fois, une distance est interrogĂ©e entre les promesses d’hier et le donnĂ© du prĂ©sent. Il vous reste de cet article Ă  lire. La suite est rĂ©servĂ©e aux abonnĂ©s. Vous pouvez lire Le Monde sur un seul appareil Ă  la fois Ce message s’affichera sur l’autre appareil. DĂ©couvrir les offres multicomptes Parce qu’une autre personne ou vous est en train de lire Le Monde avec ce compte sur un autre appareil. Vous ne pouvez lire Le Monde que sur un seul appareil Ă  la fois ordinateur, tĂ©lĂ©phone ou tablette. Comment ne plus voir ce message ? En cliquant sur » et en vous assurant que vous ĂȘtes la seule personne Ă  consulter Le Monde avec ce compte. Que se passera-t-il si vous continuez Ă  lire ici ? Ce message s’affichera sur l’autre appareil. Ce dernier restera connectĂ© avec ce compte. Y a-t-il d’autres limites ? Non. Vous pouvez vous connecter avec votre compte sur autant d’appareils que vous le souhaitez, mais en les utilisant Ă  des moments diffĂ©rents. Vous ignorez qui est l’autre personne ? Nous vous conseillons de modifier votre mot de passe.
Rencontreavec le Christ; PriĂšre; Evangile de Jean; Intervenants; Nous contacter; DECOUVRIR LE SEDIFOP; Bienvenue. Chaque annĂ©e, des mĂ©ditations pour vivre le CarĂȘme et l’Avent . avril 17, 2022 0. L’EspĂ©rance des espĂ©rances : le tombeau ouvert ! PrĂ©dication disponible en format audio. Quelle angoisse au jardin ce matin ! Le tombeau, le tombeau ! Il est ouvert et vide ‌

C'est une bien triste nouvelle Jean-Luc Reichmann a partagĂ©e ce jeudi 11 aoĂ»t 2022. Sa mĂšre Josette est dĂ©cĂ©dĂ©e il y a quelques jours. AprĂšs avoir dĂ» digĂ©rer la situation, l'animateur a pris la parole sur Instagram, adressant un texte des plus Ă©mouvants Ă  sa maman adorĂ©e. Jean-Luc Reichmann n'a pas le coeur Ă  rire ces derniers jours. Le cĂ©lĂšbre animateur de 61 ans vient de vivre le drame qu'il redoutait sans doute le plus celui de perdre sa maman. Josette est dĂ©cĂ©dĂ©e Ă  l'Ăąge de 88 ans comme il l'a annoncĂ© Ă  travers un post Instagram ce jeudi 11 aoĂ»t. MalgrĂ© sa souffrance, la figure des 12 Coups de midi a dĂ©cidĂ© de partager des photos joyeuses de sa maman chĂ©rie, sur lesquelles elle rayonne par son sourire. DĂ©sormais orphelin, il se console Ă  l'idĂ©e qu'elle est partie rejoindre son pĂšre Pierre, emportĂ© en 2016 Ă  83 ans. "Maman, aujourd'hui je pleure, mon coeur ne brille plus, le tiens s'est Ă©teint. Ce soir, ta place sera vide Ă  la belote, car tu es partie rejouer avec Papa", a-t-il lĂ©gendĂ© avec Ă©motion. Jean-Luc Reichmann veut ensuite ne se souvenir que des bons moments passĂ©s avec Josette, laquelle lui a transmis les bonnes valeurs qu'il tente d'honorer au quotidien, mais son chagrin reste inconsolable. "Tu mettais tous les jours du soleil dans ma vie Maman avec tes mots si justes, tes expressions si drĂŽles, tes rĂ©flexions si dĂ©sarçonnantes. Excuse-moi Maman mais aujourd'hui j'ai tellement mal. Je vais essayer de continuer le chemin que tu as tracĂ©, celui de la magie de la vie que tu nous as ouvert avec Papa, mais avec ce sentiment insupportable du manque de toi, de ta voix au quotidien, de ton regard si malicieux et si complice, de ta prĂ©sence si charismatique", lit-on encore. Le compagnon de Nathalie Lecoultre prĂ©cise par le biais de son texte que sa maman a poussĂ© son dernier souffle il y a quelques jours, "le premier dimanche d'aoĂ»t", soit le 7 comme on peut le dĂ©duire. "Je t'aime fort tu sais Maman et je sais que de lĂ  oĂč tu es, tu nous vois et que tu veilles sur nous. OĂč que tu sois, oĂč que je sois, tu seras toujours lĂ , tout prĂšs de moi. Allez 'Haut les Coeurs' comme tu dis et merci... Merci Maman, merci pour tout ce que tu as fait pour nous. Embrasse fort Papa", a-t-il conclu, de maniĂšre poignante. S'il n'a pas indiquĂ© les causes de sa disparition, rappelons que la maman de l'animateur a rencontrĂ© plusieurs pĂ©pins de santĂ© ces derniĂšres annĂ©es. Pendant les premiers confinements en 2020, Josette s'est par exemple retrouvĂ©e hospitalisĂ©e. Il ne pouvait alors la voir que via Facetime et, plusieurs fois sur ses rĂ©seaux sociaux, il a confiĂ© avoir "peur" pour elle.

Jai rencontré des TAS de filles dans ma vie, à l'époque je chopais à mort, mais y'en a UNE SEULE qui sortait du lot, et dieu sait que j'étais difficile. Une Marocaine (donc maghrébine comme
l'essentiel Il y a trois mois nous faisions connaissance avec Joseph Gallix, le Breton, lors de son exposition Ă  la MĂ©diathĂšque. Tout l’étĂ© il sera PyrĂ©nĂ©en au Vallon du Salut avec son exposition "VallĂ©enne". InvitĂ© de l’association Traverse dans le cadre de la rĂ©sidence photographique 2022, 8e Ă©dition, le photographe avait prĂ©venu il allait s’ancrer dans le territoire, rencontrer tous ceux qui font la spĂ©cificitĂ© de la vallĂ©e de la Haute Bigorre, et surtout celles qui l’habitent. - Les femmes dans l’objectif InspirĂ© par les spĂ©cificitĂ©s de l’organisation sociale des vallĂ©es pyrĂ©nĂ©ennes d’autrefois, notamment grĂące aux Ă©crits d’Isaure Gratacos, ethnologue qui s’est penchĂ©e sur le statut social exceptionnel des femmes du piĂ©mont pyrĂ©nĂ©en, Joseph Gallix a imaginĂ© une civilisation des vallĂ©es, oĂč femmes et hommes seraient Ă©gaux en droits depuis que le soleil est sorti de sa grotte. Il a alors optĂ© pour la fiction-documentaire et la co-crĂ©ation. Ainsi, c’est dans la rencontre et le dialogue avec des du territoire que les idĂ©es ont Ă©mergĂ© pour ĂȘtre ensuite rĂ©alisĂ©es en images au grĂ© des volontĂ©s de nous livre tout au long de ce parcours une exposition sensible qui tend Ă  raviver ce monde de cheffes de familles, de mĂšres, de filles, de paysannes. Joseph imagine un territoire dans lequel l’individu se confond avec le paysage, oĂč les rites anciens vibrent toujours aux cĂŽtĂ©s de nouvelles expressions de spiritualitĂ©, oĂč l’on ne sait jamais vraiment si cet ĂȘtre dans la forĂȘt est une femme ou une Hada, personnage de la mythologie pyrĂ©nĂ©enne. Ne cherchez pas ici de fidĂ©litĂ© historique ou culturelle. Car, bien qu’adossĂ© aux territoires et Ă  ses particularitĂ©s, Joseph nous propose un imaginaire utopique sur la place des femmes dans nos Un parcours photographique qui s’intĂšgre Ă  la naturePour Joseph Gallix, "cette rĂ©sidence a Ă©tĂ© un moment gĂ©nĂ©rateur de rencontres. L’équipe de Traverse a eu beaucoup d’importance dans la mise en place et la finalisation du projet. L’engagement Ă©tait intense humainement. S’installer dans un espace naturel et public est un trĂšs bon moyen d’entrer en contact avec l’art les gens sont confrontĂ©s – peut-ĂȘtre un peu malgrĂ© eux ?- Ă  ces images, et il y a ceux qui veulent bien s’intĂ©grer Ă  la dĂ©marche".Le contexte multidimensionnel est "un tout qui fait que ça marche"À pied, en vĂ©lo, le promeneur aura l’opportunitĂ© de s’arrĂȘter devant ces grandes photos, de mĂ©diter et de cheminer comme il l’entend dans les pas du photographe et de son regard qui n’impose rien et ne fait que susciter non pas l’appel du large, mais l’appel du prĂ©sent de la du 18 juin au 20 octobre 2022
. 75 641 90 627 598 64 142 238

chemin faisant j ai rencontré grand mere