art. 47 du Code de ProcĂ©dure Civile) Un arrĂȘt de la Cour de Cassation du 18 octobre 2012 (Cass. 2Ăš Civ., 18 octobre 2012, n° 11-22374, sera publiĂ© au Bulletin) fait l’objet
ARTICLE 1 Est ratifiĂ©e l’ordonnance n° 2015-364 du 20 mai 2015 portant modification du Code de procĂ©dure civile, commerciale et administrative. ARTICLE 2 La prĂ©sente loi sera publiĂ©e au Journal officiel de la RĂ©publique de CĂŽte d’ivoire et exĂ©cutĂ©e comme loi de l’Etat. Fait Ă  Abidjan, le 18 dĂ©cembre 2015 Read More ARTICLE 1 Est ratifiĂ©e l’ordonnance n° 20 15-180 du 24 mars 20 15 portant modification du Code de procĂ©dure civile, commerciale et administrative. ARTICLE 2 La prĂ©sente loi sera publiĂ©e au Journal officiel de la RĂ©publique de CĂŽte d’Ivoire et exĂ©cutĂ©e comme loi de l’Etat. Fait Ă  Abidjan, le 7 juillet 2015 Read More ARTICLE 1 Est ratifiĂ©e l’ordonnance n° 2020-381 du 15 avril 2020 modifiant les articles 47 et 265 du Code de procĂ©dure civile, commerciale et administrative. ARTICLE 2 La prĂ©sente loi sera publiĂ©e au Journal officiel de la RĂ©publique de CĂŽte d’Ivoire et exĂ©cutĂ©e comme loi de l’Etat. Fait Ă  Abidjan, le 10 septembre 2020 Read More ARTICLE 1 Est ratifiĂ©e l’ordonnance n° 2019-586 du 3 juillet 2019 modifiant la loi n°72-833 du 21 dĂ©cembre 1972 portant Code de procĂ©dure civile, commerciale et administrative. ARTICLE 2 La prĂ©sente loi sera publiĂ©e au Journal officiel de la RĂ©publique de CĂŽte d’Ivoire et exĂ©cutĂ©e comme loi de l’Etat. Fait Ă  Abidjan, le 27 novembre 2019 Read More ARTICLE 1 Est ratifiĂ©e l’ordonnance n° 2018-435 du 3 mai 2018 modifiant l’article 181 du Code de procĂ©dure civile, commerciale et administrative. ARTICLE 2 La prĂ©sente loi sera publiĂ©e au Journal officiel de la RĂ©publique de CĂŽte d’Ivoire et exĂ©cutĂ©e comme loi de l’Etat. Read More DECRET N° 2016-781 DU 12 OCTOBRE 2016 FIXANT LES MODALITES D’APPLICATION DE LA LOI N° 72‱833 DU 21 DECEMBRE 1972 PORTANT CODE DE PROCEDURE CIVILE, COMMERCIALE ET ADMINISTRATIVE CHAPITRE 1 DISPOSITIONS GENERALES CHAPITRE 2 BUREAUX LOCAUX DE L’ASSISTANCE JUDICIAIRE CHAPITRE 3 BUREAU CENTRAL DE L’ASSISTANCE JUDICIAIRE CHAPITRE 4 PROCEDURE D’ADMISSION A L’ASSISTANCE JUDICIAIRE CHAPITRE 5 EFFETS DE L’ASSISTANCE JUDICIAIRE CHAPITRE 6 LA DELIVRANCE GRATUITE D’ACTES ET EXPEDITIONS CHAPITRE 7 RETRAIT DE
 Read More ARTICLE 1 Le prĂ©sent dĂ©cret a pour objet de dĂ©terminer les modalitĂ©s d’application de la loi n° 72-833 du 21 dĂ©cembre 1972 portant Code de procĂ©dure civile, commerciale et administrative en ses articles 27 Ă  31 relatifs Ă  l’assistance judiciaire. ARTICLE 2 Il est créé, pour la mise en Ɠuvre de l’assistance judiciaire, un bureau local auprĂšs de chaque juridiction de premier degrĂ© et un bureau central Ă  la Chancellerie. Read More ARTICLE 3 Le bureau local de l’assistance judiciaire comprend 1° le prĂ©sident de la juridiction ou un juge par lui dĂ©lĂ©guĂ©, prĂ©sident ; 2° le reprĂ©sentant de la direction gĂ©nĂ©rale des ImpĂŽts du lieu du siĂšge de la juridiction ou son reprĂ©sentant ; 3° le trĂ©sorier du lieu du siĂšge de la juridiction ou son reprĂ©sentant ; 4° un reprĂ©sentant du servi ce social du lieu du siĂšge de la juridiction ; 5° un huissier de Justice titulaire
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DESCRIPTIFRAPIDE : La loi du 18 novembre 2016 a introduit une nouvelle procĂ©dure simplifiĂ©e pour changer de prĂ©nom permettant de s'adresser Ă  l'officier d'Ă©tat civil et non plus au juge aux affaires familiales (art.60 du code civil). Le ministĂšre des affaires Ă©trangĂšres et du dĂ©veloppement international peut, Ă  travers son rĂ©seau diplomatique et consulaire ou le EntrĂ©e en vigueur le 1 septembre 2017Lorsqu'un magistrat ou un auxiliaire de justice est partie Ă  un litige qui relĂšve de la compĂ©tence d'une juridiction dans le ressort de laquelle celui-ci exerce ses fonctions, le demandeur peut saisir une juridiction situĂ©e dans un ressort limitrophe. Le dĂ©fendeur ou toutes les parties en cause d'appel peuvent demander le renvoi devant une juridiction choisie dans les mĂȘmes conditions. A peine d'irrecevabilitĂ©, la demande est prĂ©sentĂ©e dĂšs que son auteur a connaissance de la cause de renvoi. En cas de renvoi, il est procĂ©dĂ© comme il est dit Ă  l'article les versionsEntrĂ©e en vigueur le 1 septembre 20174 textes citent l'articleVoir les commentaires indexĂ©s sur Doctrine qui citent cet articleVous avez dĂ©jĂ  un compte ?1. Tribunal de grande instance de Paris, 4e chambre 1re section, 26 septembre 2016, n° 16/03336[
] ConformĂ©ment Ă  l'article 47 du code de procĂ©dure civile, lorsqu'un auxiliaire de justice tel un avocat, est dĂ©fendeur Ă  un litige qui relĂšve de la compĂ©tence d'une juridiction dans le ressort de laquelle celui-ci exerce ses fonctions, il peut demander le renvoi devant une juridiction situĂ©e dans un ressort limitrophe. [
] Lire la suite
RenvoiMise en Ă©tatAuxiliaire de justiceRessortIncidentProcĂ©dure civileDĂ©faillantPrivilĂšge de juridictionAvocatProcĂ©dure2. Cour d'appel de Douai, Chambre 1 section 1, 18 mars 2021, n° 19/00556[
] M me X B la nationalitĂ© française par filiation paternelle, il lui appartient de dĂ©montrer l'existence d'un lien de filiation lĂ©galement Ă©tabli du temps de sa minoritĂ© Ă  l'Ă©gard d'un pĂšre français par des actes d'Ă©tat civil probants au sens de l'article 47 du code de procĂ©dure civile. Lire la suite
Acte de notoriĂ©tĂ©NationalitĂ© françaiseFiliationArchivesEtat civilAfrique Ă©quatorialeTchadInstanceRĂ©publiqueJugement3. Tribunal de commerce d'Amiens, 4 mars 2014, n° 2014R00008[
] AssignĂ© par le demandeur suivant acte du 03/01/2014, en paiement provisionnel, vu les dispositions de l'article 47 du CPC tirĂ©es de la qualitĂ© de Magistrat consulaire au Tribunal de Commerce de BEAUVAIS de Monsieur X, ancien gĂ©rant de la SociĂ©tĂ© RODER France STRUCTURES combinĂ©es aux dispositions de l'article 48 du CPC en matiĂšre de clause attributive de Juridiction, de la somme de reprĂ©sentant le montant dĂ» sur une facture 2013040371 Ă  Ă©chĂ©ance du 30 avril 2013 pour livraison de 100 Planchers suivant devis en date du 22 avril 2013, [
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CirquePrincipalSociĂ©tĂ©sStructureDĂ©laisGĂ©rantTaux lĂ©galIntĂ©rĂȘtChose jugĂ©ePierreVoir les dĂ©cisions indexĂ©es sur Doctrine qui citent cet articleVous avez dĂ©jĂ  un compte ?0 Document parlementaireAucun document parlementaire sur cet propose ici les documents parlementaires sur les articles modifiĂ©s par les lois Ă  partir de la XVe lĂ©gislature. Codedes obligations civiles et commerciales; Les services aux usagers. Attestation de MainlevĂ©e d’hypothĂšque; Attestation de compte soldĂ© ; Attestation de non engagement; Nos rĂ©alisations; ActualitĂ©s; search; webmail; CODE DES OBLIGATIONS CIVILES ET COMMERCIALES DU SENEGAL Il semble que votre navigateur ne soit pas configurĂ© pour Pour produire ses effets en France, le jugement Ă©tranger doit ĂȘtre reconnu dans le cadre d'une procĂ©dure d' reconnaissance permet de contrĂŽler la rĂ©gularitĂ© du jugement ce jugement entraĂźne des consĂ©quences financiĂšres versement d'une pension alimentaire dans le cadre d'un divorce par exemple, il doit faire l'objet d'une procĂ©dure d'exequatur pour pouvoir ĂȘtre jugement Ă©tranger relatif aux personnes divorce, filiation, autoritĂ© parentale titleContent, tutelle... peut ĂȘtre reconnu en France par le biais d'une procĂ©dure d' s'agit d'une procĂ©dure consistant Ă  vĂ©rifier que le jugement Ă©tranger n'est pas contraire au droit français par exemple un jugement de rĂ©pudiation. Si tel est le cas, l'autoritĂ© judiciaire contrĂŽle la rĂ©gularitĂ© par une nouvelle dĂ©cision et le jugement Ă©tranger peut ĂȘtre reconnu en devez adresser la requĂȘte titleContent en opposabilitĂ© ou l'assignation titleContent au procureur de la RĂ©publique auprĂšs du tribunal judiciaire dont dĂ©pend l'officier de l'Ă©tat civil dĂ©tenteur de l'acte. Si l'acte concernĂ© est dĂ©tenu par le Service central d'Ă©tat civil Scec, c'est le procureur de la RĂ©publique du tribunal judiciaire de Nantes qui est de saisie est accompagnĂ© d'une copie de la dĂ©cision originale et son caractĂšre dĂ©finitif plus de recours possible Ă  l'Ă©tranger.Une traduction en français de la dĂ©cision peut ĂȘtre exigĂ©e. Cette traduction est faite par un traducteur agréé. Les frais de traduction doivent ĂȘtre payĂ©s par avance par le un traducteur ou interprĂšte agréé inscrit auprĂšs de la Cour d'appelUne copie de la requĂȘte ayant saisi la juridiction Ă©trangĂšre doit ĂȘtre adressĂ©e au procureur si la dĂ©cision Ă©trangĂšre n'est pas motivĂ©e. Cela veut dire que si les motifs de la dĂ©cision ne sont pas expliquĂ©s, le procureur doit en ĂȘtre devez joindre Ă  votre requĂȘte les actes d'Ă©tat civil sur lesquels doivent ĂȘtre apposĂ©s la mention de la dĂ©cision Ă©trangĂšreL'avocat n'est pas vos ressources ne sont pas suffisantes, vous pouvez demander Ă  bĂ©nĂ©ficier de l'aide juridictionnelle pour prendre en charge tout ou partie de ces savoir si une partie conteste la validitĂ© de la dĂ©cision Ă©trangĂšre en France, elle peut saisir dans les mĂȘmes conditions le tribunal judiciaire d'une requĂȘte en inopposabilitĂ© pour que la dĂ©cision ne soit pas dĂ©cision de justice rendue hors de l'Union europĂ©enne ne s'applique pas automatiquement sur le territoire français. Ce n'est que si elle est reconnue en France qu'elle peut faire l'objet d'une exĂ©cution forcĂ©e et produire des effets en France. Pour cela, il faut demander l'exequatur est une procĂ©dure par laquelle une personne demande Ă  une juridiction française de reconnaĂźtre la validitĂ© d'une dĂ©cision Ă©trangĂšre en France. Elle permet aussi de s'opposer Ă  la validitĂ© d'une dĂ©cision Ă©trangĂšre en France un divorce par exemple.Le juge français saisi par le requĂ©rant rend un jugement qui donne force exĂ©cutoire titleContent Ă  la dĂ©cision Ă©trangĂšre exemple un jugement Ă©tranger condamnant une personne rĂ©sidant en France au paiement d'une somme d'argent.Attention les jugements Ă©trangers ne peuvent ĂȘtre appliquĂ©s en France que s'ils ont Ă©tĂ© notifiĂ©s titleContent selon les formes du droit tribunal compĂ©tent est le tribunal judiciaire oĂč demeure le dĂ©fendeur titleContent, si le domicile du dĂ©fendeur est connu du le tribunal compĂ©tent est celui du lieu oĂč demeure le demandeur titleContent ou le tribunal de son choix si le dĂ©fendeur demeure Ă  l' le dĂ©fendeur n'a pas de domicile ni rĂ©sidence connu,le demandeur peut saisir le tribunal du lieu oĂč il devez saisir le tribunal judiciaire par une assignation titleContent ou par requĂȘte titleContent devez obligatoirement prendre un avocat. Si vos ressources ne sont pas suffisantes, vous pouvez demander Ă  bĂ©nĂ©ficier de l'aide juridictionnelle pour prendre en charge tout ou partie de ces juge français ne peut accorder l'exequatur que si 3 conditions sont rĂ©unies Le jugement Ă©tranger a Ă©tĂ© rendu par une autoritĂ© judiciaire Ă©trangĂšre compĂ©tenteIl ne doit pas heurter la conception que se fait la France des valeurs de droit, de justice et de dignitĂ© des personnes au niveau internationalLe demandeur ne doit pas avoir saisi le juge français dans une intention le juge français ne peut pas intervenir dans l'application de la loi Ă©trangĂšre qui relĂšve de la seule autoritĂ© judiciaire Ă©trangĂšre. Il ne peut pas modifier la dĂ©cision pouvez faire appel du jugement d' n'est pas exĂ©cutĂ© volontairement par la partie perdante, il peut faire l'objet d'une procĂ©dure d'exĂ©cution forcĂ©e par un commissaire de justice saisie par exemple.
Cesite vous permet de consulter l'ensemble des textes législatifs en vigueur, adoptés par le Parlement, le Gouvernement et ses départements, ainsi que les rÚglements édictés par le Tribunal cantonal, et qui sont publiés dans la version papier du Recueil systématique jurassien. Il est également possible d'accéder aux publications du Journal des débats.
LES SOURCES NATIONALES DU DROIT Les sources du droit sont diverses La loi renvoie aux sources Ă©crites mais il existe Ă©galement la coutume, la constitution, les usages, la jurisprudence, les ordonnances, les rĂšglements
 Terme dĂ©signe sources gĂ©nĂ©rales et abstraites. En ce qui concerne le droit objectif, terme = ambivalent. On distingue 2 types de sources du droit objectif Sources rĂ©elles ensemble des sources d’inspiration qui permettent d’expliquer le droit objectif Sources formelles sources plus directes processus, formes
 par lesquelles la rĂšgle de droit prend son caractĂšre obligatoire modes de crĂ©ation qui mĂšnent au droit positif. Ces sources rĂ©pondent Ă  des besoins sociaux -> on peut les expliquer par des donnĂ©es sociales qui sont alors prises en considĂ©ration par l’auteur de la rĂšgle de droit. On les appelles les forces crĂ©atrices du droit » Ripper. Elles ont pour but de mieux interprĂ©ter les rĂšgles ou de les faire Ă©voluer. Ces sources sont diverses et hiĂ©rarchisĂ©es. La HiĂ©rarchisation diffĂšre d’un pays Ă  un autre car chacun a sa propre tradition juridique. La France a une tradition juridique du droit Ă©crit, on donne la primautĂ© Ă  la loi Ă©crite donnĂ©e par la RĂ©volution Française. Le pouvoir d’interprĂ©tation = pouvoir important donnĂ© au juge et est essentielle pour la jurisprudence car elle peut constituer une nouvelle source du droit. Portalis reconnaĂźt le rĂŽle important accordĂ© au juge. C’est pourquoi le Code civil lui a laissĂ© une place importante. A/ La loi 1° Les catĂ©gories de normes Ă©crites Tout texte est infĂ©rieur Ă  la constitution. La constitution est la source mĂšre du droit. Il peut ĂȘtre saisi par le PrĂ©sident de la RĂ©publique, par le prĂ©sident de l’AssemblĂ©e ou par celui du SĂ©nat, par 60 dĂ©putĂ©s ou par 60 sĂ©nateurs.– la Constitution– la loi par le parlement– les dĂ©crets par le PrĂ©sident de la RĂ©publique ou par le Premier Ministre– les arrĂȘtĂ©s par les ministres, par les prĂ©fets ou par les mairesLes traitĂ©s ont une valeur supra lĂ©gislative qu’à condition d’avoir Ă©tĂ© ratifiĂ©s, ex le traitĂ© de Rome. Il est une autoritĂ© supĂ©rieure Ă  la loi. 2° Qu’est-ce que la loi Terme utilisĂ© pour dĂ©finir toute rĂšgle gĂ©nĂ©rale et abstraite > le lĂ©gislateur a une libertĂ© totale nationalitĂ©, droit patrimonial de la famille, droits des successions, matiĂšre pĂ©nale
 => rĂ©sulte de l’art. 34 de la Constitution de 1958. Dans ces matiĂšres, lĂ©gislateur fixe ensemble des rĂšgles et ça ne lui interdit pas de dĂ©lĂ©guer Ă  l’exĂ©cutif de fixer certains dĂ©tails d’indication. Avantage dĂ©tails pourront ĂȘtre remis Ă  jour/modifiĂ©s/actualisĂ©s sans nĂ©cessairement revenir au Parlement. CompĂ©tence lĂ©gislative prĂ©vue par art. 34 domaines dans lesquels loi doit fixer principes fondamentaux -> loi ne doit pas entrer dans les dĂ©tails. ExĂ©cutif a une compĂ©tence autonome pour dĂ©terminer rĂšgles prĂ©cises dans principes gĂ©nĂ©raux droit de propriĂ©tĂ©, des obligations, dĂ©fense nationale, enseignement, environnement
. 3 L’application de la loi dans le temps Les caractĂ©ristiques de la loi La loi est gĂ©nĂ©rale, permanente et obligatoire Ă  tous les citoyens. *La gĂ©nĂ©ralitĂ© la loi est applicable Ă  tous sur tout le territoire. Il n’y a pas de distinctions de classes, ni de discriminations. Il y a beaucoup d’exceptions, ex le prĂ©sident de la rĂ©publique, droit de vote des femmes en 1946, plus besoin d’autorisation maritale pour travailler depuis 1965 , droit d’avoir un logement diffĂ©rent de celui du mari dans les annĂ©es 80, en France une distinction sur la loi de maternitĂ©. *La permanence tant qu’ elle subsiste dans les Ă©crits la loi demeure et s’applique, pour la faire disparaĂźtre il faut l’abroger. L’abrogation peut ĂȘtre express quand un texte nouveau prĂ©cise expressĂ©ment que la loi ancienne se trouve abrogĂ©e, ex la loi du 19 octobre 2000 . L’abrogation peut ĂȘtre tacite quand un texte nouveau contient des dispositions contraires ou incompatibles avec des textes anciens. *Le caractĂšre obligatoire de la loi la loi s’impose Ă  tous. Une loi impĂ©rative s’applique indĂ©pendamment de la volontĂ© des citoyens ,ex droit pĂ©nal, respecter les bonnes mƓurs comme ne pas louer des chambres Ă  l’heure. Une loi supplĂ©tive s’applique sauf en cas de volontĂ©s contraires des deux parties contractantes. Tout le droit des contrats est un droit supplĂ©tif, l’article 1134 du code civil prĂ©cise que les conventions lĂ©galement formĂ©es tiennent lieu de lois Ă  ceux qui les ont faites. La loi doit ĂȘtre connue, cette connaissance passe par sa publication dans le Journal Officiel nul ne doit ignorer la loi. La non rĂ©troactivitĂ© de la loi L’article 2 du code civil dit que la loi ne dispose que pour l’avenir, elle n’a pas d’effet rĂ©troactif. La loi nouvelle ne peut pas s’appliquer Ă  des situations de faits ou de droits antĂ©rieures Ă  sa publication. On parle souvent d’application immĂ©diate de la loi, elle va s’appliquer aux faits en cours mais non aux situations juridiques dĂ©jĂ  nĂ©es, dans ce cas il y survie de la loi ancienne. Toutefois ce principe connaĂźt des exceptions – la loi se dĂ©clare elle-mĂȘme rĂ©troactive, ex en 1945 sur la collaboration. – les lois sont interprĂ©tatives , ces lois viennent prĂ©ciser le sens ou la portĂ©e d’une loi rĂ©cemment promulguĂ©e. – les lois pĂ©nales plus douces. Le cours de droit civil est divisĂ© en plusieurs fiches notion de droit, biens, acteurs de la vie juridique, sources du droit, preuves, responsabilité  Cours complet d’Introduction au droit sources du droit, notion de droit, droit des biens, droit des personnes
 La notion de droit Les sources du droit Les diffĂ©rentes dĂ©finitions et sources du droit Les acteurs de la vie juridiques les personnes morales La responsabilitĂ© dĂ©lictuelle Le droit et les biens La preuve des actes et des faits juridiques Les acteurs de la vie juridique les personnes physiques CopropriĂ©tĂ© – mitoyennetĂ© – indivision propriĂ©tĂ©s collectives B/ Les sources autres que la loi Elles sont au nombre de 5, il s’agit de la coutume, de la doctrine et la jurisprudence, du rĂšglement et de l’ordonnance. Les sources internationales du droit seront Ă©voquĂ©es dans un autre chapitre. 1° Le rĂšglement Article 37 du code civil prĂ©cise que dans des matiĂšres qui ne sont pas du domaine de la loi, elles ont caractĂšre rĂ©glementaire -> Constitution reconnaĂźt au rĂšglement compĂ©tence propre/exclusive. 2 types de rĂšglements RĂšglements d’application qui sont pris dans domaines oĂč la loi normalement fixe la loi et oĂč le lĂ©gislateur Ă  lĂ©guer au gouvernement le pouvoir de fixer le pouvoir d’application. RĂšglements autonomes qui interviennent dans leur domaine propre domaines oĂč la loi fixe les principes gĂ©nĂ©raux ou domaines auxquels loi ne touche pas. Protection du domaine lĂ©gislatif contre les empiĂštements du pouvoir rĂ©glementaire assez bien assurĂ©e et de 2 maniĂšres – Recours possible en annulation d’un acte rĂ©glementaire illĂ©gal pcq pris dans domaine de la loi. – Exception d’inĂ©galitĂ© qui peut ĂȘtre soulevĂ©e par un particulier devant une juridiction particuliĂšre. Dans ce cas-lĂ , le juge judiciaire a parfois la possibilitĂ© de juger lui-mĂȘme le dĂ©cret illĂ©gal, inapplicable. Lorsque risque d’atteinte Ă  une libertĂ© individuelle. Avant adoption d’une loi, au cours d’une procĂ©dure parlementaire, gouvernement peut essayer d’intervenir et empĂȘcher adoption d’une proposition de loi -> saisie du CC qui a dĂ©veloppĂ© jurisprudence assez souple. Une fois loi entrĂ©e en application, il est encore possible pour Premier ministre de demander au CC d’en reconnaĂźtre nature rĂ©glementaire ce qui permet de dĂ©classer/dĂ©lĂ©galiser un texte sans pour autant le modifier mais il pourra ĂȘtre modifiĂ© par rĂšglement/dĂ©cret aprĂšs. 2 L’ordonnance Art. 38 avant 1958, parlement pouvait voter loi de dĂ©lĂ©gation donnant au gouvernement droit de prendre dĂ©crets ayant force de lois et qui entraient immĂ©diatement en vigueur et devaient ĂȘtre ratifiĂ©s par parlement. A partir de 1958, gouvernement peut demander au parlement de prendre par ordonnance pendant dĂ©lai limitĂ© prĂ©vu des mesures normalement du domaine de la loi pour tenir programme -> vote d’une loi d’habilitation
 Si ordonnance pas ratifiĂ©e par Parlement, elle prend nature d’un rĂšglement administratif susceptible de faire objet d’un recours en annulation. Recours Ă  cette mĂ©thode devrait ĂȘtre exceptionnel car pas de dĂ©bat parlementaire. Depuis quelques annĂ©es, les gouvernements usent et abusent de cette mĂ©thode pour accĂ©lĂ©rer les votes lĂ©gislatifs. 3 La coutume La coutume se dĂ©finit comme la rĂ©pĂ©tition d’usage au sein d’un groupe qui au bout d’un certain temps la considĂšre comme une loi, ex la femme en se mariant prend le nom de son Ă©poux. Elle est orale pas Ă©crite , application locale. Cette coutume doit faire l’objet d’un consensus, c’est-Ă -dire que les personnes se soumettent Ă  cette coutume . 4 La doctrine Il s’agit des Ă©crits effectuĂ©s par les auteurs juristes. Leurs Ă©crits portent soit sur la loi, soit sur les dĂ©cisions de justice. 5 La jurisprudence Il s’agit de l’ensemble des dĂ©cisions de justice qui posent principes et solutions sur des problĂšmes posĂ©s. Plus la juridiction saisie est haute et plus la dĂ©cision aura de portĂ©e, une dĂ©cision d’assemblĂ©e plĂ©niĂšre s’impose aux juridictions du fond. La jurisprudence comporte certains dĂ©faut par rapport Ă  la loi . En effet elle est relative car la dĂ©cision est rendue pour un procĂšs qui n’oppose que deux personnes. Elle est fragile, on est jamais Ă  l’abris d’un retournement de jurisprudence. Il n’en demeure pas moins que la jurisprudence est crĂ©atrice de lois, ex un arrĂȘt de 1976 qui prĂ©cise quand une entreprise est en cessation de paiement sera repris plus tard par une nouvelle loi. a Notion de jurisprudence. Sens moderne = assez Ă©loignĂ© de ses origines et de ce qu’il peut ĂȘtre dans certains pays Ă©trangers. Etymologiquement, la juris prudentia = vertu de prudence appliquĂ©e au droit et assimilĂ©e Ă  prudence du juriste, Ă  science et mĂ©thode du droit en droit romain telle qu’elle Ă©tait enseignĂ©e par les jurisconsultes. Elle relevait Ă  l’époque de l’AntiquitĂ© plutĂŽt de ce qu’on appelle aujourd’hui la doctrine. Aujourd’hui encore, dans les pays anglo-amĂ©ricains, jurisprudence = assimilĂ©e Ă  mĂ©thode du droit. En France, notion de jurisprudence peut recouvrir sujets multiples, elle se rĂ©fĂšre toujours aux dĂ©cisions des tribunaux -> pas science abstraite, thĂ©orique mais pratique des tribunaux. Au sens le + large du terme, jurisprudence recouvre ensemble des dĂ©cisions rendues par tribunaux dans une pĂ©riode et une matiĂšre donnĂ©es. On peut dĂ©signer aussi ensemble des dĂ©cisions rendues dans une branche spĂ©ciale du droit. Solutions gĂ©nĂ©ralement et habituellement donnĂ©es Ă  question de droit prĂ©cisĂ©ment identifiĂ©e conditions habituellement exigĂ©es par tribunaux, validitĂ© de telle ou telle convention
 – tribunaux peaufinent la loi. Sens prĂ©cis suppose interprĂ©tation/solution prĂ©cise qui complĂšte et prolonge parfois rĂšgle de droit complĂ©mentaire qui ne doit pas ĂȘtre une pure application des lois -> elle doit traduire une prise de position des juges sur interprĂ©tation de telle ou telle rĂšgle. Pour ĂȘtre en prĂ©sence de jurisprudence, il faut une interprĂ©tation retenue de maniĂšre habituelle -> donc il faut une interprĂ©tation relativement stable. Toutes les dĂ©cisions de tribunaux n’ont pas une Ă©gale valeur -> hiĂ©rarchie des tribunaux et jurisprudence va avoir une importance + grande suivant juridiction qui l’applique. Terme jurisprudence » dĂ©signe arrĂȘts rendus par Cour de cassation autoritĂ© de faits imposĂ©e par Cour de cassation. b Fonctions et autoritĂ© de la jurisprudence. Au lendemain de la RĂ©volution Française., jurisprudence = secondaire car primautĂ© du lĂ©gislatif. On ne demandait pas au juge d’interprĂ©ter la loi mais de l’appliquer servilement -> inapplicable. Loi de 1790 avait créé procĂ©dure de rĂ©fĂ©rĂ© lĂ©gislative qui imposait aux tribunaux confrontĂ©s Ă  difficultĂ©s d’application de s’adresser au corps lĂ©gislatif rĂ©dacteur pour modifier ou refaire loi. Loi supprimĂ©e en 1807 mais mĂȘme avant suppression, rĂ©dacteurs du Code civil ont dĂ©volu rĂŽle au juge non-nĂ©gligeable et que loi ne pouvait ni ne devait tout prĂ©voir -> elle devait se limiter aux principes gĂ©nĂ©raux et abstraits. C/ La codification > adoption du Code civil = modification du corps de rĂšgles relatifs au droit civil en entier. Code civil = exemple le + achevĂ©. Modernisation et adaptation Ă  Ă©volution de la sociĂ©tĂ©. Adoption en 1975 d’un nouveau code de procĂ©dure civile qui a opĂ©rĂ© rĂ©forme globale & modernisation de notre procĂ©dure civile. Ø Codifications formelles Ă  partir de 90’s, on a créé de nouvelles formes de Codes en regroupant des rĂšgles diverses mais se rapportant Ă  une mĂȘme matiĂšre compilĂ©es dans des Codes + ou – bien prĂ©sentĂ©s. Travail accompli par administrations -> vague de Codes/codifications administratives sans discussion parlementaire et une loi de 2003 a habilitĂ© ainsi le gouvernement Ă  adopter ou Ă  recodifier un Code rural, des collectivitĂ©s territoriales, du tourisme
 -> codifications Ă  droit constant. Si les lois ne sont pas formulĂ©es dans les mĂȘmes termes donc leur interprĂ©tation ne sera plus la mĂȘme travail de réécriture a Ă©tĂ© surprenant. Le plan qui prĂ©side Ă  leur ordonnancement, ça peut laisser place Ă  de nouvelles interprĂ©tations. Facteur d’insĂ©curitĂ© juridique. Nouveaux Codes comportent 3 parties – LĂ©gislative code du travail, de la consommation
 -> regroupes tous textes de valeur lĂ©gislative et donc tous les articles sont prĂ©cĂ©dĂ©s de la lettre L » ex art. L-345
. – RĂšglementaire compile dĂ©crets adoptĂ©s en CE et donc tous articles prĂ©cĂ©dĂ©s de la lettre R ». – DĂ©crets simples articles prĂ©cĂ©dĂ©s de la lettre D ». Chaque partie obĂ©it au mĂȘme plan, de telle sorte que dispositions qui se rapportent au mĂȘme objet se retrouvent au mĂȘme niveau. Volume du contentieux nombre sans cesse croissant des litiges devant les tribunaux montĂ©e en puissance de la jurisprudence. Le cours de droit civil est divisĂ© en plusieurs fiches notion de droit, biens, acteurs de la vie juridique, sources du droit, preuves, responsabilité  Cours complet d’Introduction au droit sources du droit, notion de droit, droit des biens, droit des personnes
 La notion de droit Les sources du droit Les diffĂ©rentes dĂ©finitions et sources du droit Les acteurs de la vie juridiques les personnes morales La responsabilitĂ© dĂ©lictuelle Le droit et les biens La preuve des actes et des faits juridiques Les acteurs de la vie juridique les personnes physiques CopropriĂ©tĂ© – mitoyennetĂ© – indivision propriĂ©tĂ©s collectives Les autres fiches de cours Cours d’introduction au droitLa personne morale dĂ©finition, personnalitĂ© juridique
La responsabilitĂ© dĂ©lictuelleRĂ©sumĂ© du droit des biensLe droit de propriĂ©tĂ©La propriĂ©tĂ© collective copropriĂ©tĂ©, indivision, mitoyennetĂ©Qu’est-ce que le droit ? Pourquoi le droit ?La personne physique ses droits, attributs et capacitĂ©La preuve des actes et des faits juridiquesLe droit dĂ©finition, notion de droit, branches du droit
Le droit fait-il Ă©voluer les mƓurs, l’économie, la politique?Les critĂšres d’identification de la rĂšgle de droitLe droit et les autres normes sociales religion, morale
Grands systĂšmes juridiques romano-germanique et Common lawLes grands courants de la philosophie du droitQuelles sont les branches du droit ?Le personnel judiciaireLes juridictions de l’ordre judiciaire civil, pĂ©nal et administratifQuelles sont les sources du droit ?RĂŽle du juge obligation de juger et arrĂȘts de rĂšglementDĂ©cisions de la Cour d’appel et ArrĂȘts de la Cour de cassationLe principe de primautĂ© des traitĂ©s et accords internationaux
ARTICLE47 NOUVEAU : « Si au jour fixĂ© pour l’audience, les parties comparaissent ou sont rĂ©guliĂšrement reprĂ©sentĂ©es, l’affaire est immĂ©diatement renvoyĂ©e devant le prĂ©sident En matiĂšre de succession, sont portĂ©es devant la juridiction dans le ressort de laquelle est ouverte la succession jusqu'au partage inclusivement - les demandes entre hĂ©ritiers ; - les demandes formĂ©es par les crĂ©anciers du dĂ©funt ; - les demandes relatives Ă  l'exĂ©cution des dispositions Ă  cause de mort.

Ceprojet de loi introduit plusieurs innovations notamment la fixation du montant des « petits litiges » en matiÚre civile à une valeur maximale de 000 en capital ou 50.000 F CFA en revenu annuel.

Cass. com., 28 oct. 2008, no 07-20801, X. / CNBF Fondement C. com., art. R. 600-1 ; CPC, art. 47 Cass. com., 28 oct. 2008, n° 07-20801 n° 1105 FSPB, X. / CNBF LA COUR Sur le moyen unique Vu les articles 47 du Code de procĂ©dure civile, 1er et 336 du dĂ©cret du 28 dĂ©cembre 2005, devenus les articles R. 600-1 et R. 662-1 du Code de commerce ; Attendu que les rĂšgles de compĂ©tence Ă©dictĂ©es par l'article R. 600-1 du Code de commerce ne dĂ©rogent pas Ă  l'application des dispositions de l'article 47 du Code de procĂ©dure civile ; Attendu, selon l'arrĂȘt attaquĂ©, que la Caisse nationale des barreaux français a assignĂ©, le 12 juillet 2006, Mme X., exerçant l'activitĂ© indĂ©pendante d'avocate au barreau de Paris, devant le tribunal de grande instance de Nanterre, en liquidation judiciaire ; que cette juridiction, faisant droit Ă  l'exception soulevĂ©e par le ministĂšre public, s'est dĂ©clarĂ©e incompĂ©tente au profit du tribunal de grande instance de Paris ; Attendu que, pour confirmer le jugement, l'arrĂȘt retient que les rĂšgles nouvelles de compĂ©tence territoriale dĂ©terminĂ©es par l'article L. 610-1 du Code de commerce, dans sa rĂ©daction issue de la loi du 26 juillet 2005 de sauvegarde des entreprises, et prĂ©cisĂ©es par l'article 1er du dĂ©cret d'application du 28 dĂ©cembre 2005, dĂ©rogent Ă  celles de droit commun qui reconnaissent aux avocats le privilĂšge de juridiction de l'article 47 du Code[...] IL VOUS RESTE 93% DE CET ARTICLE À LIRE L'accĂšs Ă  l'intĂ©gralitĂ© de ce document est rĂ©servĂ© aux abonnĂ©s L'accĂšs Ă  l'intĂ©gralitĂ© de ce document est rĂ©servĂ© aux abonnĂ©s Ce document est accessible avec les packs suivants - Pack Affaires - Pack Offre AcadĂ©mique - Pack IntĂ©gral - Pack Magistrat Vous ĂȘtes abonnĂ© - Identifiez-vous JBS-2009-098 urnJBS-2009-098
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art 47 code de procédure civile