DEMANDED ’AUTORISATION PRÉALABLE OU PROVISOIRE (T ITRES I ET II DU LIVRE VI DU CODE DE LA SÉCURITÉ INTÉRIEURE) En application des articles L.612-22, L.612-23, L.622-21 et L.622-22 du code de la sĂ©curitĂ© intĂ©rieure, l’accĂšs Ă  une formation en vue d’acquĂ©rir l’aptitude professionnelle est soumis Ă  la dĂ©livrance d’une autorisation
PPL SĂ©curitĂ© globale » l’intĂ©gration de la sĂ©curitĂ© incendie dans le livre VI du CSI est une avancĂ©e Ă  consolider par la Commission Mixte paritaire Le SĂ©nat a votĂ© en faveur de l’intĂ©gration de la sĂ©curitĂ© et prĂ©vention incendie dans le livre VI du code de la sĂ©curitĂ© intĂ©rieure, et donc dans le pĂ©rimĂštre des activitĂ©s de sĂ©curitĂ© privĂ©e rĂ©glementĂ©e. Le GES et PERIFEM souhaitent vivement que la Commission Mixte Paritaire suive ce vote, qui rĂ©hausserait le niveau de sĂ©curitĂ© des sites publics ou privĂ©s. L’intĂ©gration dans le pĂ©rimĂštre des activitĂ©s de sĂ©curitĂ© privĂ©e rĂ©glementĂ©es de la prĂ©vention des risques d’incendie dans les bĂątiments, prĂ©cisĂ©ment par ajout d’un 5° dans l’article L. 611-1 du CSI, Ă©tait demandĂ©e par le GES ainsi que l’ensemble du secteur de la sĂ©curitĂ© privĂ©e, prestataires et donneurs d’ordre compris une partie du chemin a donc Ă©tĂ© fait par le SĂ©nat, ce dont nous le remercions. Il faut rappeler les raisons de cette demande les agents SSIAP ne relĂšvent pas, pour des raisons historiques et administratives dĂ©passĂ©es, du livre VI du code de la sĂ©curitĂ© intĂ©rieure et ne font pas l’objet d’un contrĂŽle de moralitĂ©, Ă  la diffĂ©rence des autres agents de sĂ©curitĂ© employĂ©s par nos entreprises. Pire un agent de sĂ©curitĂ© privĂ©e peut se voir refuser ou retirer sa carte professionnelle, pour moralitĂ© dĂ©faillante, mais accĂ©der Ă  ou obtenir un emploi d’agent de sĂ©curitĂ© incendie
 Ainsi, au moment oĂč les conditions d’accĂšs pour devenir agent de sĂ©curitĂ© privĂ©e se durcissent, il devenait incomprĂ©hensible que ceux, chargĂ©s de la prĂ©vention incendie, amenĂ©s Ă  circuler dans les lieux les plus sensibles des bĂątiments, Ă  s’assurer des possibilitĂ©s d’évacuation, et relevant de la mĂȘme Convention collective PrĂ©vention-SĂ©curitĂ© », ne soient pas inclus dans le livre VI du code de la sĂ©curitĂ© intĂ©rieure, lui-mĂȘme destinĂ© Ă  accompagner l’évolution du mĂ©tier comme ce fut le cas en 2014 pour les activitĂ©s privĂ©es de protection des navires. Cette incongruitĂ© a Ă©tĂ© corrigĂ©e par le SĂ©nat, notamment dans l’optique d’une sĂ©curitĂ© globale la sĂ©curisation d’un site ou d’un Ă©vĂ©nement est effectivement globale et, pour cela, mise en Ɠuvre par nos entreprises Ă  la fois avec des agents de sĂ©curitĂ© privĂ©e et des agents de sĂ©curitĂ© incendie. La Commission Mixte Paritaire, qui rĂ©unira 7 SĂ©nateurs et 7 DĂ©putĂ©s, doit, en responsabilitĂ©, maintenir cet article 19 bis A nouveau dans la Proposition de loi relative Ă  la sĂ©curitĂ© globale.
Au premier alinĂ©a des articles L. 285-1, L. 286-1, L. 287-1 et L. 288-1 du code de la sĂ©curitĂ© intĂ©rieure, la rĂ©fĂ©rence : « l’ordonnance n° 2019-738 du 17 juillet 2019 » est remplacĂ©e par la rĂ©fĂ©rence : « la loi n° du relative Ă  la prorogation des chapitres VI Ă  X du titre II du livre II et de l’article L. 851-3 du code de la sĂ©curitĂ© intĂ©rieure ». Code de la sĂ©curitĂ© intĂ©rieureChronoLĂ©gi Article L612-20 - Code de la sĂ©curitĂ© intĂ©rieure »Version Ă  la date format JJ/MM/AAAAou duVersion en vigueur depuis le 27 mai 2021 Naviguer dans le sommaire du code Nul ne peut ĂȘtre employĂ© ou affectĂ© pour participer Ă  une activitĂ© mentionnĂ©e Ă  l'article L. 611-1 1° S'il a fait l'objet d'une condamnation Ă  une peine correctionnelle ou Ă  une peine criminelle inscrite au bulletin n° 2 du casier judiciaire ou, pour les ressortissants Ă©trangers, dans un document Ă©quivalent, pour des motifs incompatibles avec l'exercice des fonctions ;2° S'il rĂ©sulte de l'enquĂȘte administrative, ayant le cas Ă©chĂ©ant donnĂ© lieu Ă  consultation, par des agents du Conseil national des activitĂ©s privĂ©es de sĂ©curitĂ© spĂ©cialement habilitĂ©s par le reprĂ©sentant de l'Etat territorialement compĂ©tent et individuellement dĂ©signĂ©s, des traitements de donnĂ©es Ă  caractĂšre personnel gĂ©rĂ©s par les services de police et de gendarmerie nationales relevant des dispositions de l'article 31 de la loi n° 78-17 du 6 janvier 1978 relative Ă  l'informatique, aux fichiers et aux libertĂ©s, Ă  l'exception des fichiers d'identification, que son comportement ou ses agissements sont contraires Ă  l'honneur, Ă  la probitĂ©, aux bonnes mƓurs ou sont de nature Ă  porter atteinte Ă  la sĂ©curitĂ© des personnes ou des biens, Ă  la sĂ©curitĂ© publique ou Ă  la sĂ»retĂ© de l'Etat et sont incompatibles avec l'exercice des fonctions susmentionnĂ©es ;3° S'il a fait l'objet d'un arrĂȘtĂ© d'expulsion non abrogĂ© ou d'une interdiction du territoire français non entiĂšrement exĂ©cutĂ©e ;4° Pour un ressortissant Ă©tranger, s'il ne dispose pas d'un titre de sĂ©jour lui permettant d'exercer une activitĂ© sur le territoire national aprĂšs consultation des traitements de donnĂ©es Ă  caractĂšre personnel relevant des dispositions des articles R. 142-11 et R. 142-12 du code de l'entrĂ©e et du sĂ©jour des Ă©trangers et du droit d'asile par des agents du Conseil national des activitĂ©s privĂ©es de sĂ©curitĂ© spĂ©cialement habilitĂ©s par le reprĂ©sentant de l'Etat territorialement compĂ©tent et individuellement dĂ©signĂ©s ;4° bis Pour un ressortissant Ă©tranger ne relevant pas de l'article L. 233-1 du mĂȘme code, s'il n'est pas titulaire, depuis au moins cinq ans, d'un titre de sĂ©jour ;5° S'il ne justifie pas de son aptitude professionnelle, notamment d'une connaissance des principes de la RĂ©publique, selon des modalitĂ©s dĂ©finies par dĂ©cret en Conseil d' Pour un ressortissant d'un Etat membre de l'Union europĂ©enne ou d'un Etat partie Ă  l'accord sur l'Espace Ă©conomique europĂ©en ou pour un ressortissant d'un pays tiers, s'il ne justifie pas d'une connaissance de la langue française suffisante pour l'exercice d'une activitĂ© privĂ©e de sĂ©curitĂ© mentionnĂ©e Ă  l'article L. 611-1 du prĂ©sent code, selon les modalitĂ©s dĂ©finies par dĂ©cret en Conseil d' respect de ces conditions est attestĂ© par la dĂ©tention d'une carte professionnelle dĂ©livrĂ©e selon des modalitĂ©s dĂ©finies par dĂ©cret en Conseil d' carte professionnelle peut ĂȘtre retirĂ©e lorsque son titulaire cesse de remplir l'une des conditions prĂ©vues aux 1°, 2°, 3°, 4° et 5° du prĂ©sent article. Elle peut Ă©galement ĂȘtre retirĂ©e en cas de mĂ©connaissance des dispositions prĂ©vues Ă  l'article L. 214-1 du code rural et de la pĂȘche maritime ou s'il ne satisfait pas au contrĂŽle rĂ©gulier de ses compĂ©tences en application de l'article L. 613-7-1 A du prĂ©sent l'exercice de l'activitĂ© mentionnĂ©e au 4° de l'article L. 611-1 du prĂ©sent code, la condition prĂ©vue au 4° du prĂ©sent article n'est pas applicable. La dĂ©livrance de la carte professionnelle rĂ©pond en outre aux conditions exigĂ©es Ă  l'article L. cas d'urgence, le prĂ©sident de la commission d'agrĂ©ment et de contrĂŽle territorialement compĂ©tente peut retirer la carte professionnelle. En outre, le reprĂ©sentant de l'Etat peut retirer la carte professionnelle en cas de nĂ©cessitĂ© tenant Ă  l'ordre public.
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Commissiondes lois : Prorogation des chapitres VI Ă  X du titre II du livre II et de l'article L. 851-3 du code de la sĂ©curitĂ© intĂ©rieure - Mercredi 8 juillet 2020. AssemblĂ©e nationale. 3:35:25. Commission des lois : Projet de loi relatif Ă  la prorogation de chapitres du code de la sĂ©curitĂ© ; Proposition de loi relative Ă  la sĂ©curitĂ© globale - Mercredi 4 Index clair et pratique EntrĂ©e en vigueur 2021-11-27 DerniĂšre date de vĂ©rification de mise Ă  jour le Samedi 27 aoĂ»t 2022 Le Code de la sĂ©curitĂ© intĂ©rieure regroupe les lois relatives au droit de la sĂ©curitĂ© intĂ©rieure Gratuit Retrouvez l'intĂ©gralitĂ© du Code de la sĂ©curitĂ© intĂ©rieure ci-dessous Les propriĂ©taires ou les exploitants d'immeubles Ă  usage d'habitation ou leurs reprĂ©sentants s'assurent que les services de police et de gendarmerie nationales ainsi que les services d'incendie et de secours sont en mesure d'accĂ©der aux parties communes de ces immeubles... Lire la suite Le Code de la sĂ©curitĂ© intĂ©rieure regroupe les lois relatives au droit de la sĂ©curitĂ© intĂ©rieure Gratuit Retrouvez l'intĂ©gralitĂ© du Code de la sĂ©curitĂ© intĂ©rieure ci-dessous Les propriĂ©taires ou les exploitants d'immeubles Ă  usage d'habitation ou leurs reprĂ©sentants s'assurent que les services de police et de gendarmerie nationales ainsi que les services d'incendie et de secours sont en mesure d'accĂ©der aux parties communes de ces immeubles aux fins d'intervention. Ils peuvent accorder Ă  la police municipale une autorisation permanente de pĂ©nĂ©trer dans ces mĂȘmes parties communes. Recherche d'un article dans tous les codes Liste des codes et Articles de loi Aucun rĂ©sultat trouvĂ© GrĂące Ă  l'abonnement Juritravail, accĂ©dez Ă  tous les documents du site en libre accĂšs et Ă  jour des derniĂšres rĂ©formes Codes Code de la sĂ©curitĂ© intĂ©rieure Article L272-1 Lordonnance n° 2012-351 du 12 mars 2012 crĂ©e la partie lĂ©gislative du code de la sĂ©curitĂ© intĂ©rieure qui regroupe l'ensemble des textes intĂ©ressant la sĂ©curitĂ© publique et la sĂ©curitĂ© civile. Ce code retient le principe de la codification Ă  droit constant, Ă  quelques exceptions prĂšs. Le livre V est consacrĂ© aux Polices municipales et intĂšgre un titre sur Le Gouvernement a dĂ©cidĂ© de rendre public l'avis sur un projet de loi relatif Ă  la prorogation des chapitres VI Ă  X du titre II du livre II et de l’article L. 851-3 du code de la sĂ©curitĂ© intĂ©rieure1. Le Conseil d’Etat a Ă©tĂ© saisi, le 27 avril 2020, d’un projet de loi relatif Ă  la prorogation des chapitres VI Ă  X du titre II du livre II et de l’article L. 851-3 du code de la sĂ©curitĂ© Ce texte a deux objets - reporter du 31 dĂ©cembre 2020 au 31 dĂ©cembre 2021 la date au terme de laquelle cesseront d’ĂȘtre applicables les mesures de lutte contre le terrorisme rĂ©sultant de la loi n° 2017-1510 du 30 octobre 2017 renforçant la sĂ©curitĂ© intĂ©rieure et la lutte contre le terrorisme et figurant aux chapitres VI Ă  X du titre II du livre II du code de la sĂ©curitĂ© intĂ©rieure relatif Ă  la lutte contre le terrorisme et les atteintes aux intĂ©rĂȘts fondamentaux de la Nation pĂ©rimĂštres de protection, fermetures des lieux de culte, mesures individuelles de contrĂŽle administratif et de surveillance, visites domiciliaires et saisies, contrĂŽle parlementaire ;- reporter du 31 dĂ©cembre 2020 au 31 dĂ©cembre 2021 la date Ă  laquelle cessera d’ĂȘtre applicable l’article L. 851-3 du mĂȘme code relatif Ă  l’accĂšs administratif aux donnĂ©es de connexion dans le cadre de la prĂ©vention du terrorisme et rĂ©sultant de la loi n° 2015-912 du 24 juillet 2015 relative au renseignement. Le texte reporte Ă©galement du 30 juin 2020 au 30 juin 2021 la date Ă  laquelle, au plus tard, le Gouvernement adresse au Parlement un rapport sur l’application de cette derniĂšre L’étude d’impact satisfait aux exigences de la loi organique n° 2009-403 du 15 avril Pour justifier du report au 31 dĂ©cembre 2021 et au 30 juin 2021 des Ă©chĂ©ances prĂ©citĂ©es, et ainsi du report en 2021 des dĂ©bats parlementaires qui devront ĂȘtre organisĂ©s sur les conditions de la prorogation, de la pĂ©rennisation ou de la suppression des mesures en question, le Gouvernement, qui estime nĂ©cessaire que celles-ci demeurent en vigueur au-delĂ  du terme actuellement fixĂ©, indique, dans l’exposĂ© des motifs du projet soumis Ă  l’examen du Conseil d’Etat, que les circonstances sanitaires exceptionnelles rĂ©sultant de l’épidĂ©mie de covid-19 rendent difficile l’examen en temps utile et dans des conditions de dĂ©bat appropriĂ© par le Parlement ». L’étude d’impact indique que la possibilitĂ© d’un examen par le Parlement, avant la fin de l’annĂ©e, de projets de loi spĂ©cifiques ne peut ĂȘtre Le Conseil d’Etat rappelle que, lorsqu’il s’était prononcĂ© sur le projet de loi relatif au renseignement Avis n° 389574 du 12 mars 2015 et sur celui renforçant la sĂ©curitĂ© intĂ©rieure et la lutte contre le terrorisme Avis n° 393348 du 15 juin 2017, ceux-ci ne faisaient l’objet d’aucune limitation dans le temps, ce qui ne l’avait pas conduit Ă  formuler d’observations sur ce point. Il n’avait pas davantage subordonnĂ© au degrĂ© d’intensitĂ© de la menace terroriste son apprĂ©ciation de la conformitĂ© de ces textes aux normes supĂ©rieures. Il avait considĂ©rĂ© qu’au regard des garanties dont elles Ă©taient assorties, ces mesures de police administrative opĂ©raient une conciliation qui n’était pas dĂ©sĂ©quilibrĂ©e entre la sauvegarde de l’ordre public et les droits et libertĂ©s garantis par la Constitution ainsi que les engagements conventionnels de la de l’examen de ces projets, le Parlement a dĂ©cidĂ© de fixer au 31 dĂ©cembre 2018 et au 31 dĂ©cembre 2020 la durĂ©e d’application, respectivement, de l’article L. 851-3 du code de la sĂ©curitĂ© intĂ©rieure et des chapitres VI Ă  X du titre II du livre II du mĂȘme code. L’échĂ©ance du 31 dĂ©cembre 2018 a Ă©tĂ© dĂ©calĂ©e au 31 dĂ©cembre 2020 par la loi du 30 octobre 2017. Le Parlement a estimĂ© opportun, de dĂ©libĂ©rer Ă  nouveau, aux Ă©chĂ©ances fixĂ©es, de la pertinence de ces dispositions et de l’opportunitĂ© de les maintenir en Le Conseil d’Etat relĂšve que les dispositions en cause ont depuis leur adoption Ă©tĂ© examinĂ©es par le Conseil constitutionnel dĂ©cisions n° 2017-691 QPC du 16 fĂ©vrier 2018 et n° 2017-695 QPC du 29 mars 2018 et par le Conseil d’Etat statuant au contentieux. Les chapitres VIII et IX du titre II du livre II du code de la sĂ©curitĂ© intĂ©rieure ont, Ă  la suite des dĂ©cisions rendues par le Conseil constitutionnel, Ă©tĂ© complĂ©tĂ©s par la loi n° 2019-222 du 23 mars 2019 de programmation 2018-2022 et de rĂ©forme pour la justice articles 65 et 66. Le Conseil constitutionnel et le Conseil d’Etat n’ont, dans leurs dĂ©cisions respectives, pas subordonnĂ© la conformitĂ© des dispositions examinĂ©es Ă  la Constitution, au droit de l’Union europĂ©enne ou aux normes internationales Ă  leur caractĂšre ces conditions, la prolongation de ces mesures n’appelle pas d’observation de la part du Conseil d’Etat, sans qu’il lui soit nĂ©cessaire de se prononcer sur les motifs donnĂ©s par le Gouvernement pour justifier cette avis a Ă©tĂ© dĂ©libĂ©rĂ© et adoptĂ© par le Conseil d’Etat en Commission permanente dans sa sĂ©ance du lundi 4 mai 2020.

TitreII.- Des relations de travail Chapitre I.- De l'apprentissage et de la formation SECTION I: Du contrat d’apprentissage. Article L.7: Le contrat d’apprentissage est un contrat de travail de type particulier par lequel un employeur s’engage, outre le versement d’une allocation d’apprentissage, Ă  assurer une formation professionnelle mĂ©thodique et complĂšte,

Edition 2014 A jour au 2 janvier 2014. Le Code de la sĂ©curitĂ© intĂ©rieure commente la nouvelle partie lĂ©gislative, codifiĂ©e par l'ordonnance du 12 mars 2012, en... Lire la suite 65,00 € Neuf Grand format DĂ©finitivement indisponible 65,00 € Nouvelle Ă©dition PrĂ©commande 75,00 € ExpĂ©diĂ© sous 3 Ă  6 jours 70,00 € DerniĂšre Ă©dition PrĂ©commande 75,00 € DĂ©finitivement indisponible A jour au 2 janvier 2014. Le Code de la sĂ©curitĂ© intĂ©rieure commente la nouvelle partie lĂ©gislative, codifiĂ©e par l'ordonnance du 12 mars 2012, en vigueur depuis le 1er mai 2012. Il se compose aussi de la rĂ©cente partie rĂ©glementaire rĂ©sultant des dĂ©crets du 4 dĂ©cembre 2013, en vigueur depuis le 1er janvier 2014. Il rĂ©unit notamment les nouvelles dispositions relatives Ă  la sĂ©curitĂ© et Ă  l'ordre publics lutte contre le terrorisme, interceptions de sĂ©curitĂ© ; vidĂ©oprotection ; sĂ©curitĂ© des transports collectifs ; ou encore celles relatives Ă  la police et Ă  la gendarmerie nationales, aux activitĂ©s privĂ©es de sĂ©curitĂ© et Ă  la sĂ©curitĂ© civile. Il reproduit, en annexes, le Code de la dĂ©fense, faisant de cet ouvrage unique le premier vĂ©ritable "Code de la sĂ©curitĂ© nationale". Textes rĂ©cents et nouveautĂ©s. Parmi les derniers textes intĂ©grĂ©s loi du 18 dĂ©cembre 2013 relative Ă  la programmation militaire pour les annĂ©es 2014 Ă  2019 et portant diverses dispositions concernant la dĂ©fense et la sĂ©curitĂ© nationale ; dĂ©crets du 4 dĂ©cembre 2013 relatifs Ă  la partie rĂ©glementaire du Code de la sĂ©curitĂ© intĂ©rieure ; ordonnance du 20 juin 2013 modifiant certaines dispositions du Code de la sĂ©curitĂ© intĂ©rieure et du Code de la dĂ©fense parties lĂ©gislatives relatives aux armes et munitions. Date de parution 13/03/2014 Editeur Collection ISBN 978-2-7110-1898-7 EAN 9782711018987 PrĂ©sentation ReliĂ© Nb. de pages 1036 pages Poids Kg Dimensions 14,5 cm × 20,0 cm × 4,0 cm Olivier Gohin est professeur Ă  l'universitĂ© PanthĂ©on-Assas Paris II, directeur de l'IPAG de Paris. Xavier Latour est professeur Ă  l'universitĂ© de Nice-Sophia-Antipolis. Olivier Bagousse est commissaire de police. JĂ©rĂŽme Millet est chef d'escadron de gendarmerie. Compositionde la commission mixte paritaire chargĂ©e de proposer un texte sur les dispositions restant en discussion du projet de loi relatif Ă  la prorogation des chapitres vi Ă  x du titre ii du livre ii et de l'article l. 851-3 du code de la sĂ©curitĂ© intĂ©rieure. au 17 dĂ©cembre 2020. XVe LĂ©gislature - Archives
TĂ©lĂ©charger ci-aprĂšs le "nouveau" code de dĂ©ontologie de la sĂ©curitĂ© privĂ©e. Il sera ainsi plus simple Ă  faire rĂ©fĂ©rence Ă  l'un des articles du code de dĂ©ontologie, maintenant intĂ©grĂ© dans la partie rĂ©glementaire du CSI livre VI. Le prĂ©sent code de dĂ©ontologie s'applique Ă  toutes les personnes morales dont les activitĂ©s sont rĂ©gies par le livre VI du code de la sĂ©curitĂ© intĂ©rieure ainsi qu'aux personnes physiques dont les activitĂ©s sont rĂ©gies par les mĂȘmes dispositions, qu'elles agissent en qualitĂ© de dirigeants de sociĂ©tĂ©, y compris d'associĂ©s ou de gĂ©rants, de personnes exerçant Ă  titre individuel ou libĂ©ral, de salariĂ©s et stagiaires d'une entreprise de sĂ©curitĂ© ou de recherches privĂ©es ou appartenant au service interne d'une entreprise. Ces personnes sont qualifiĂ©es d'acteurs de la sĂ©curitĂ© privĂ©e. A faire tournĂ© et partagĂ©! NB De ce fait, le DĂ©cret n° 2012-870 du 10 juillet 2012 relatif au code de dĂ©ontologie des personnes physiques ou morales exerçant des activitĂ©s privĂ©es de sĂ©curitĂ© est donc abrogĂ© .. car intĂ©grĂ© au code de la sĂ©curitĂ© intĂ©rieure article R...
. 340 489 593 759 248 217 189 58

livre vi du code de la sécurité intérieure